Je m’appelle Louise, j’ai 25 ans et je vis à Paris. Dans cette newsletter, je vous fais part de mes dernières recommandations culturelles : podcasts, films, documentaires livres, expos, spectacles & pièces de théâtre, mais pas que. Bonne lecture !!
Coucou tout le monde,
J’espère que vous allez bien !!
Je vous écris de Belle-Île, où une amie m’accueille quelques jours. Un séjour qui commençait mal : sur un carrefour de la périphérie de Vannes, on a fait 2h de stop sous un petit ouragan - dans l’histoire, j’ai perdu mes lunettes et mon téléphone trempé a lancé plusieurs appels vidéos à mon nouveau crush. On est arrivées au port de Quiberon juste à temps pour sauter dans le dernier bateau à destination de Belle-Île : les suivants étaient tous annulés pour cause de tempête. La traversée fut chaotique. Tandis que mon amie souffrait en silence sur son siège, les yeux clos et le visage crispé, j’ai bien failli m’étaler par terre en allant chercher deux sacs à vomi. Une heure plus tard, on est sorties du bateau lessivées et le teint cireux.
L’ambiance à Belle-Île-en-Mer, un 22 novembre ? Pas un chat sur les routes, des dizaines d’ardoises affichant “fermeture annuelle” sur la devanture des restaurants et des commerces, des épiceries dont on se demande comment elles vont faire pour passer l’hiver, des averses tous les quarts d’heures, des gouttes qui se transforment parfois en gros grêlons, des vagues énormes et des paysages aussi lugubres que spectaculaires. Le premier soir, mon amie m’a dit qu’elle était rassurée que je sois là, avec elle. Je ne me suis pas épanchée sur mon impression d’être dans un film du type Shutter Island, ni sur les images de fous munis de haches qui m’étaient vaguement venues en tête à la tombée de la nuit.
Heureusement, on a chauffé la maison, rempli le frigo, et la tempête a fini par se calmer. Ce matin, on a eu la vision rassurante d’une factrice qui distribuait le courrier. Et pour se réconforter, on se prépare des petits repas délicieux, on se sert de grands verres de vin midi et soir et on papote pendant des heures.
Bref, voilà pour les nouvelles !! Dans cette newsletter, je vous fais mes recos & critiques du mois de Novembre. Au programme ce mois-ci ? Des podcasts, des films et des documentaires, des livres, des expos, des spectacles, mais aussi quelques comptes Insta de recettes de cuisine. Comme d’habitude, n’hésitez pas à me répondre, que ce soit pour faire des retours sur la newsletter (est-ce que vous préférez cette présentation par catégories, par exemple ?) ou pour me donner votre avis sur les références dont je parle. Pour m’écrire, deux options : commenter le post sur Substack ou répondre à ce mail. Je le dis à chaque fois, mais ça me fait toujours super plaisir de vous lire. Bonne lecture !!
Les podcasts
J’ai trouvée super la première saison du podcast France Culture Votre cerveau, où le plus charmant des psychologues & neuroscientifiques Albert Moukheiber nous explique, avec son son côté très “à la cool” et son joli accent libanais, comment le cerveau fonctionne et nous trompe. Chacun des 6 épisodes présente un des biais cognitif qui entrent en jeu dans notre perception de la réalité en nous permettant de l’expérimenter directement avec des illusions auditives. Un super podcast, concis et instructif.
La très belle émission (dispo en podcast) de la Grande Librairie consacrée à Annie Ernaux, qui a reçu le prix Nobel de littérature en octobre. Si vous n’avez pas le temps, je vous conseille au moins d'écouter la lecture émouvante que fait l’auteure d’un extrait de son livre Les Années.
J’ai trouvé intéressante la série A la recherche de l’attention, réalisée par le studio Majora Prod, qui nous plonge dans la vie de quatre adultes atteints du TDAH (trouble déficit de l’attention, avec/sans hyperactivité). Rythmés par leurs témoignages et des passages en musique, ces 3 épisodes nous plongent dans leur quotidien, leurs difficultés, le diagnostic et la reconnaissance du trouble.
Parce que j’aimerais bien essayer d’écrire un roman, je me pose tout un tas de questions sur la construction d’une narration et de personnages, mais aussi sur l’organisation qui peut aider à venir à bout de ce projet. En plus du podcast Bookmakers que j’adore mais dont chaque trio d’épisodes demande de poser une demi-journée, j’ai commencé à écouter le podcast Comment c’est raconté, dont chaque épisode décortique une question de dramaturgie en s’appuyant sur un exemple de film. J’adore : c’est pointu sans se prendre au sérieux, on sent le vrai cinéphile derrière. Merci beaucoup à Tanguy pour la découverte !! Et puis, toujours grâce à Tanguy, j’ai découvert la chaîne Youtube Artisans fiction, qui présente des interviews courtes et efficaces de dizaines d’auteurs de romans, dont Nicolas Mathieu, Pierre Lemaître, Amélie Nothomb… Pareil, c’est simple et super. Enfin, j’ai bien aimé l’interview de Mona Chollet, qu’on entend suffisamment rarement pour que ce soit cool en soi et qui se confie avec sincérité, humour et humilité sur son quotidien d’essayiste, sa vision de l’écriture, ses inspirations et ses projets dans le nouveau podcast La Source, animé par l’auteure Cécile Coulon sur France Inter.
Sinon, en vrac :
J’ai aimé écouter l’intelligente, sincère et touchante humoriste Swann Périssé, interviewée par Judith Duportail dans cet épisode d’On ne peut plus rien dire. Elles y parlent, entre autres, d’humour, de stand up, de féminisme et de réseaux sociaux. Sinon, j’ai écouté quelques épisodes des Pieds sur terre, et d’abord l’épisode Femmes au foyer : réveil brutal, un reportage de Pauline Chanu qui donne la parole à deux femmes qui ont arrêté de travailler pour s’occuper de leurs enfants. Elles décrivent l’ambivalence de ce quotidien entre joie et ennui, puis la situation précaire et ingrate dans laquelle elles se sont brutalement retrouvées le jour où leur mari les a quittées. “Des histoires tristement banales”, écrivait Pauline dans un post. Et de bonnes piqûres de rappel. J’ai aussi écouté Le monde des escargots, un joli épisode articulé autour de l’expérience d’éleveuse de Carole, puis de la fascination attendrissante de Coralie, petite fille handicapée moteur captivée par les escargots. J’ai aussi écouté la série Ex-ologie, une vie de célibataire d’Adila Bennedjaï-Zou, une auto-biographie sentimentale où cette dernière tente de comprendre pourquoi elle est célibataire depuis 17 ans en partant à la rencontre des hommes qu’elle a aimés. Une série fine et touchante qui m’a rendue un peu triste et mélancolique, peut-être parce qu’il est question de souvenirs et d’histoires d’amour passées, peut-être aussi parce que j’aspire à la vie de couple, que je suis célibataire en ce moment et qu’imaginer que ça pourrait durer 17 ans m’inspire un peu d’effroi. Enfin, à force d’entendre sa bande-annonce tous les deux jours, j’ai fini par écouter 1 euro la minute, une série de fiction audio co-produite par Nouvelles Ecoutes et Gaumont qui m’a agréablement surprise. Honnêtement, le scénario de cette “comédie irrévérencieuse” m’a semblé plutôt attendu et les dialogues gentillets, mais j’ai aimé l’univers sonore et le personnage principal, interprété avec justesse par une Céline Salette très rigolote et attachante.
PS : le secret pour écouter autant de podcasts : devoir dessiner une abbaye super compliquée pour un faire-part de mariage.
Les films & documentaires
J’ai beaucoup aimé le film R.M.N, réalisé par le roumain Cristian Mungiu. On y suit Matthias, un homme d’une quarantaine d’années qui quitte son poste d’ouvrier en Allemagne pour rejoindre son village natal en Roumanie où vivent son jeune fils, son père et son ex-petite amie Csilla. Quand cette dernière décide de recruter des sri lankais dans l’usine à pain locale qu’elle dirige, le semblant de paix de cette communauté multi-ethnique est troublé. Le film met face à la dissonance entre ceux qui jouent le jeu de l’Europe et les autres, à la misère et à la tentation du populisme et du repli sur soi - illusion de contrôle qui prend ici la forme d’un racisme violent vis-à-vis des étrangers qui viennent travailler au salaire minimum. J’ai peut-être trouvé le film un peu éparpillé. Et comme m’a écrit mon père plus tard, “la scène de la fin avec les ours j’ai rien compris”. Mais sinon, j’ai beaucoup aimé ce film, qui met en évidence la complexité de ces tensions de village sans tomber dans le jugement et les caricatures.
Trop fan de la série Arte L’amour a ses réseaux, dont chaque mini dessin animé raconte une histoire de rencontre, souvent drôle et décalée, née sur une appli. Ce midi, en en regardant un, j’ai eu un petit fou rire devant mon écran. J’ai déjà regardé une bonne partie et je sens que je vais tous me les faire ce week-end.
Je vous recommande Toutes musclées, un super documentaire Arte sur la conquête féminine du sport : sport en amateur, sport de haut niveau, sports qui exigent de se muscler et donc de transgresser les normes de beauté féminine… L’occasion de se rappeler à quel point cette conquête est récente, combien les pratiques sportives restent genrées (#abdos-fessiers) et de prendre conscience que le sport de haut niveau demeure un monde organisé par les hommes et toujours marqué par des absurdités et des inégalités liées au genre.
Ces dernières semaines, j’ai été assez accro à Malaisant, une série Arte (oui, encore Arte) diffusée sous forme de stories sur le compte Instagram Arte à suivre. Elle raconte l’histoire d’Esther et Roméo, deux jeunes personnes qui se rencontrent dans une baraque à gaufres où elle est vendeuse, lui livreur. C’est sans prétention et super chou, drôle et créatif. Avec justesse et humour, la série explore la gêne, la honte, le décalage et le stress qui peuvent naître dans les relations sociales et amoureuses - des émotions qui me parlent. Les “épisodes” sont épinglés en “stories à la une” sur le compte en question.
L’émission Les Rencontres du Papotin, née d’une collaboration entre les réalisateurs Eric Toledano et Olivier Nakache et le journal Le Papotin, ce sont des interviews de stars menées par des personnes autistes. J’ai toujours une petite méfiance à l’égard de ce genre d’initiatives : j’ai toujours peur que ce soit maladroit et trop dans le pathos. Mais là, j’ai trouvé ça vraiment réussi : devant les questions sans filtres, à la fois drôles et pleines de sensibilité de ces faux journalistes, les tabous et les discours un peu rodés s’effondrent. Camille Cottin était récemment leur invitée. Dans cet échange que j’ai trouvé rafraîchissant, joyeux et émouvant, l’actrice parle notamment de son métier, de l’enfance et de deuil.
Je me suis abonnée au compte Instagram Le Film d’Ariane, blog cinéphile dont la propriétaire poste régulièrement des critiques que je trouve intelligentes, justes et nuancées. Merci Paul pour la découverte !!
Les livres & les BD
J’ai relu le tome 1 de la BD Les Passagers du vent, de François Bourgeon, et je me suis rappelé pourquoi j’avais dévoré ses 5 tomes il y a quelques années. On y suit les aventures d’Isabeau, une jeune femme intelligente, courageuse et sensuelle. Seule face à son tragique destin, elle continue, envers et contre tout, à aimer la vie, les hommes, les femmes et surtout, sa liberté. L’histoire est géniale, les dessins et les textes - crus, drôles, fins - sont magnifiques. Si cette BD m’a captivée, je précise qu’elle ne ménage pas la sensibilité du lecteur et peut déranger.
Je viens de finir Yoga, le dernier livre d’Emmanuel Carrère. C’est un récit un peu décousu : au départ, l’écrivain a pour projet d’écrire “un livre souriant et subtil” sur le yoga et il commence en effet par raconter un stage intensif de méditation. Mais quelques mois plus tard, il sombre dans une terrible dépression et finit interné à Sainte-Anne : des mois de détresse qu’il raconte avant d’enchaîner sur son séjour avec des jeunes réfugiés sur une île grecque. Comme les autres que j’ai lus de Carrère, j’ai trouvé ce livre très fluide à lire, la description sans filtres de sa dépression éprouvante mais courageuse et intéressante. Enfin, j’ai aimé que le livre, dont le potentiel de leçon de morale new age me faisait peur, montre qu’on ne peut pas toujours tout maîtriser : qu’une vie objectivement réussie et qu’une bonne hygiène de vie ne suffisent pas quand un déséquilibre chimique dans notre cerveau nous plombe. Que le yoga et la méditation ne peuvent pas remplacer les médicaments. Que le mal-être qu’on peut ressentir est bien réel, malgré le fait qu’il doive être mis en perspective avec le destin tragique des autres. Après, je dois dire que que son récit très autocentré peut me lasser et que je ne suis pas toujours sensible aux tourments moraux sur lesquels il s’étend. Carrère s’exprime à plusieurs reprises sur son regret de ne pas être “un homme bon” et je crois que ses lamentations m’agacent, un peu comme les gens qui répètent à tout bout de champ qu’ils sont désolés, souvent sans essayer de changer. Mais je suis peut-être sévère, et suis curieuse de savoir ce que vous en avez pensé si vous l’avez lu !
Il y a quelques semaines, j’ai lu Samarcande, un roman d’Amin Maalouf qui commence par raconter les histoires croisées, dans la Perse du XIème siècle, du penseur, astronome et poète Omar Khayyam, d’Hassan Sabbah, fondateur d’une secte redoutable, et de Nizam al-Mulk, vizir persan des sultans seldjoukides (turcs) qui régnaient alors sur la Perse (je mets tous ces détails pour essayer de m’en rappeler moi-même). Dans une deuxième partie, on se retrouve au début du XXème siècle dans un Iran traversé par des rêves de liberté et de démocratie. On y suit alors un journaliste américain féru d’orient qui se met en quête du légendaire “Manuscrit” d’Omar Khayyam et se retrouve en Iran en pleine révolution constitutionnelle. D’Amin Maalouf, je me souviens avoir préféré le très beau roman Léon l’Africain. Le saut dans le temps effectué dans Samarcande m’a fait un peu décrocher, et le fil rouge créé par le légendaire manuscrit m’a semblé tiré par les cheveux. Malgré tout, le livre se lit très bien et on y apprend beaucoup sur l’histoire de l’Iran.
Après les coup de coeur pour les mini-BD que Livio & la vie moderne, Tara Booth, Salomé Lahoche et Théo Grosjean publient sur Instagram, j’ai récemment découvert le travail de l’illustrateur et auteur de BD Félix Auvard, que je trouve souvent très juste et drôle.
Les expos
Je vous recommande Parisiennes citoyennes ! au musée Carnavalet, une expo aussi enthousiasmante qu’émouvante sur l’histoire de l’émancipation des femmes, de la révolution française à la fin du 20ème siècle. On y découvre l’histoire des luttes collectives pour leur émancipation politique, sociale, juridique, intellectuelle, artistique, physique et sexuelle, mais aussi des dizaines de portraits de femmes qui ont marqué l’histoire du féminisme, d’Olympe de Gouges à Simone de Beauvoir - pour les plus connues. Cela faisait longtemps que je n’avais pas trouvé une expo aussi géniale - aussi riche, dense et complète qu’intéressante et accessible. Le regroupement de documents d’archives, textes, gravures, photographies, affiches, dessins et extraits vidéos est impressionnant, et j’ai trouvé intéressant que les choix liés à la curation soient explicités par les médiatrices au début de l’expo. Bref, à voir absolument ! Avec en option, un petit café dans la ravissante cour intérieure du musée Carnavalet.
Sinon, en vrac :
Un dimanche matin, je suis allée voir l’expo Sam Szafran au musée de l’Orangerie. On y découvre, via ses esquisses d’ateliers au fusain et au pastel, sa super série sur l’imprimerie Bellini et ses aquarelles de jungles envahissantes, l’obsession du peintre pour les espaces clos et un style réaliste qui vire parfois sur l’onirique. Le travail du peintre ne m’a pas bouleversée mais j’ai trouvé l’expo bien faite, bien expliquée, pas trop longue, et j’étais contente de découvrir cette oeuvre singulière. Je suis aussi allée voir Les choses, au musée du Louvre, une exposition éclectique riche d’une incroyable collection et plutôt bien racontée. Mais elle m’a semblé trop longue, trop dense et floue dans son propos, sûrement à cause d’un angle - la représentation “des choses” depuis la préhistoire - très large. Et pour finir, j’ai été un peu déçue par l’expo Habibi, les révolutions de l’amour, en ce moment à l’Institut du Monde Arabe. A part 2-3 des magnifiques peintures de l’artiste iranienne Kubra Khademi, je me souviens d’une expo inégale et d’un monde de dingue. Ceci dit, ça ne mange pas de pain : le billet coûte 10€, et 5€ pour les moins de 26 ans.
Les spectacles & pièces de théâtre
Mythologies, un ballet moderne d’Angelin Preljocaj au théâtre du Châtelet. Je vous épargne les fausses joies : c’est fini ! Mais je vous conseille de guetter ses prochains spectacles. Ce dernier était une claque, comme celui que j’avais vu il y a trois ans. Je ne connais rien à la danse, mais ses spectacles sont très accessibles, le travail de choeur captivant et ses chorégraphies bourrées de poésie, d’humour et de références. Merci encore à la famille Chabert pour l’invitation !!
La Cerisaie, mise en scène par Clément Hervieu-léger à la Comédie française. Une mise en scène plutôt classique et attendue qui je trouve, met malgré tout ce très beau texte de Tchekhov et ses personnages en valeur, tout en ajoutant un brin de joie et de légèreté à l’ambiance pesante et mélancolique des pièces de l’écrivain russe.
Le Roi Lear, mise en scène par Thomas Ostermeier à la Comédie Française, m’a déçue. J’ai aimé la mise en scène très moderne et esthétique, mais j’ai trouvé certains passages lourdingues et les comédiens, comme le texte de Shakespeare, assez peu mis en valeur. Je suis restée complètement extérieure à la pièce, ça m’a semblé très long et j’ai failli partir.
Des recettes de cuisine :
Moi qui ai longtemps été une jeune femme insouciante, négligée et libre, je suis en train de me transformer en vraie fée du logis. Cette métamorphose est arrivée un peu par hasard : on s’était inscrit à une AMAP avec mon ex-copain, à l’époque où il vivait avec moi et cuisinait pour deux. Depuis notre séparation, je n’a pas eu d’autre choix que d’apprendre à cuisiner les kilos de légumes que je recevais tous les mardis. Et contre toute attente, j’y prend goût, parce que je trouve gratifiant de préparer des trucs sains et bons pour pas très cher et parce que c’est un peu les seuls moments où je peux écouter des podcasts.
Bref : mes recettes, je les trouve principalement sur Instagram (dont la fonctionnalité “Enregistrer” m’est très précieuse) et sur les comptes suivants :
Les comptes La petite chef mumu (mon pref !), sodietehtique, et cnosoignons pour leurs super recettes végétariennes très bien expliquées.
Le compte de 750 grammes, pour ses recettes basiques mais nombreuses et super bien expliquées aussi.
Si vous êtes motivés, il y a les recettes du Filtre (un peu sophistiquées pour moi). Elles sont aussi publiées dans leur newsletter hebdomadaire.
Voilà, c’est fini pour aujourd’hui !!
J’espère que vous apprécié la lecture de cette newsletter. Si c’est le cas, n’hésitez pas à la recommander à un·e ami·e et à vous abonner si ce n’est pas déjà fait.
Et si vous avez envie de me répondre, n’hésitez pas ! :-)
A bientôt !
Louise
Quel foisonnement de recommendations, je n'ose imaginer le temps que ça te prend d'écrire une newsletter comme celle-ci !
Très fan aussi de L'amour a ses réseaux, qui est très drôle - c'est dingue les histoires que certain(e)s ont vécues 😅
Sinon, pour cuisiner les légumes, j'aime bien le livre La cuisine de vos paniers (chez Rue de l'Echiquier). Ce n'est pas exclusivement végétarien, mais quand même assez majoritaire - sans compter les recettes de desserts. Si ça peut compléter tes sources Instagram :)