Je m’appelle Louise, j’ai 27 ans et je vis à Paris. Dans cette newsletter, je vous donne des nouvelles et vous confie mes dernières recos culturelles : podcasts, livres, films, comptes Insta, petites adresses... Bonne lecture !!
Coucou tout le monde,
J’espère que vous allez bien,
Je suis déjà très en retard par rapport à mon planning (“tous les dimanches” 🙄), mais petit débrief rapide de cette dernière semaine. Elle aura été marquée par une petite nostalgie de la résidence d’artistes, la réflexion sur la possibilité que la vie en communauté révèle enfin l’être épanoui et lumineux qui sommeille en moi, la plus rigolote des missions freelance (rédiger les 60 icebreakers d’une appli de rencontre #manifesting), une story “toits enneigés” bien sûr, 128 checks de mon compte en banque (j’attend patiemment et sereinement qu’un client daigne me rétribuer pour 3 mois de travail), un super week-end avec ma troupe de théâtre qui m’a fait décrocher d’Instagram et de mon appli LCL, et les premières courbatures de 2024 (le travail, le froid, la flemme, les déplacements, la découverte des vélib électriques…).
PS : j’ai décidé de m’accorder une semaine de “relâche” par mois, parce que je suis une grande flemmarde dois dédier du temps à mes missions et à la recherche de sponsors pour la news. Pour la prochaine édition, je vous donne donc rendez-vous dans deux dimanches (on y croit 🤞).
Et maintenant, place aux recos de la semaine ! Bonne lecture !! 😘
Des podcasts 🎙️
J’ai été très émue par le témoignage de Lauren Bastide dans Bliss-Stories, super podcast qui partage des histoires de maternité sans filtre. Dans la safe space créée par la merveilleuse Clémentine Galley, la célèbre journaliste s’y livre sur ses souvenirs de petite fille rangée, excellente élève quoiqu’un peu turbulente, ses rêves de jeune femme pleine d’ambition, le drame familial qui a bouleversé ses 25 ans et les 10 années qui ont suivi, son gros besoin de “cocher les cases”, ses 2 accouchements et le traumatisme qu’a représenté le 1er, le rejet qu’elle a ressenti vis-à-vis d’une identité de mère, son éveil féministe et la colère qui s’est ensuivie, l’éducation qu’elle essaie de donner à ses enfants, sa découverte de la santé mentale - une révolution pour celle qui s’est longtemps sentie très “dissociée”. Un témoignage plein d’intelligence, de sincérité et d’émotion qui m’a fait lâcher des petites larmes.
J’ai bien aimé l’épisode de Vlan Travaillez moins pour travailler mieux, dans lequel Grégory Pouy interroge Céline Marty, autrice, prof de philo et co-animatrice de la chaîne de philo META sur Youtube. Mis à part que certains raisonnements mériteraient peut-être d’être approfondis, j’ai trouvé l’épisode instructif, dynamique, rafraîchissant et terre-à-terre, notamment grâce aux questions “de droite” de Grégory. Un épisode qui invite à relativiser la place du travail dans nos vies et à remettre en question notre grande méfiance vis-à-vis de l’oisiveté, en plus d’aborder l'oeuvre du philosophe André Gorz, la question du partage des richesses et l’importance de revaloriser les services publics. Merci à Chloé, du compte Insta Kantine Magazine, pour la ref’ dans ses “recos du lundi” !! 💕
Grâce aux recos Insta de la journaliste Victoire Tuaillon, j’ai découvert l’existence des billets quotidiens de Lucile Commeaux dans son émission Le Regard culturel, sur France Culture. Nouveau roman, film, série, expo, évènement, tendance… Dans chaque billet de 3 minutes, la journaliste commente une actu du monde de la culture. En coupant mes légumes, j’ai écouté son avis sur le film La Sociedad de la Nieve, la série The Bear, le film Priscilla, les coordinatrices d’intimité, la frénésie autour du rappeur JuL et le dernier album d’Astérix. À chaque fois, j’ai savouré son humour, son intelligence et son esprit critique.
Je me suis délectée de la finesse et de la spontanéité de Nora Hamzawi dans le podcast Le Goût de M. L’humoriste de 40 ans y évoque son enfance “pas très Martine” dans le 16ème, ses fantasmes d’ado sur la vie d’adulte, son goût pour une écriture incarnée, sa petite tendance dépressive, son amour pour la BD et les pharmacies. Ça m’a donné envie d’aller voir son prochain spectacle en Mars. J’en profite pour vous recommander ce super podcast, dans lequel la bienveillante et sympathique Géraldine Sarratia interroge la construction du goût de personnalités (créateurs, artistes, cuisiniers, intellectuels…), le sujet étant un bon prétexte pour convoquer leur souvenirs d’enfance et leur travail. Cela me fait me rappeler que j’avais bien aimé sa conversation avec l’humoriste et écrivain Panayotis Pascot, qui s’y confiait sur son enfance, son amour de la musique et du cinéma, son combat contre la dépression et son rapport à l’écriture et la scène, exutoires de ses émotions.
Son parcours m’est déjà très familier, mais je continue à écouter Lili Barbery dont le discours clairvoyant sur l’introspection, l’image de soi et la relation aux autres me donne toujours de la force. Dans cet épisode du podcast On Becoming, cette journaliste et prof de yoga très suivie évoque notamment ses insécurités, son rapport à la notoriété, son héritage familial et le soulagement qu’elle a ressenti en abandonnant l’idée, commune dans le secteur du bien-être, de “servir une mission”. Au sujet du risque du jugement quand on s’expose, elle déclare : “Je préfère être détestée plutôt que de passer à côté de ma vie et nourrir ma frustration”. La coach Zeva Bellel m’a semblé une intervieweuse charmante, fine et pleine d’empathie.
Je sais très bien que certaines personnes qui me suivent sur les réseaux sociaux me détestent. Il s’agit même parfois de gens que je connais, de loin, ou que j’ai perdu de vue. Évidemment, me concentrer sur ce que je leur évoque ne me fait pas plaisir. Mais je préfère accepter d’être leur objet de détestation plutôt que de risquer de passer à côté de ma spontanéité, de mes élans, de ma sincérité. Plaire à ceux qui ne m’aiment pas est bien trop coûteux.
Lauren Bastide l’a annoncé il y a 2 semaines : La Poudre, c’est fini ! Ça m’a surprise, je m’imaginais qu’il existerait toujours. J’ai repensé aux premiers épisodes que j’écoutais en me baladant dans Madrid ou en me faisant les ongles sur mon balcon il y a 6-7 ans, lors d’un échange où j’avais de longues heures à combler. J’avais 20 ans et je débriefais avec mon amie Raph - “ma poule je te conseille le dernier épisode de la poudre” ; “t’as écouté l’épisode ac Pénélope Bagieu / Houda Benyamina / Inès Rau / Leïla Slimani / Mona Chollet ?” ; “wow j’ai la gorge nouée” ; “j’avoue elle m’a soulée là Lauren”.
Il y a eu des saisons où j’ai tout écouté, prise d’une grande curiosité pour le monde intérieur de toutes ces femmes incroyables qu’on entendait si rarement parler plus de 3 minutes dans les médias. D’autres où je me suis moins reconnue dans le ton un peu péremptoire d’une Lauren Bastide révoltée. 7 ans après, je retiens surtout la profondeur des conversations, les magnifiques intros de la journaliste et ces dizaines d’interviews qui m’ont introduit à la pensée de femmes très inspirantes de tous milieux, de couleurs de peaux et classes sociales. La Poudre aura largement contribué à faire mon éducation féministe et comme dit Virginie Despentes dans le mythique jingle de l’épisode, il en sera à jamais une formidable archive ! Alors pour tout ça, merci La Poudre ! ❤️
Des films et des vidéos 🍿
J’ai été charmée par le film Past Lives, de Céline Song, qui raconte l’amitié amoureuse de deux enfants coréens, Nora et Hae Sung, séparés à leurs 12 ans lorsque la famille de Nora quitte la Corée du Sud pour les États-Unis. 12 ans plus tard, ils se retrouvent sur les réseaux sociaux et se parlent de longues heures sur Skype avant de se re-perdre de vue. 24 ans plus tard, enfin, ils se revoient alors que Hae Sung est de passage à New York. Un film doux, lumineux et plein de grâce qui confronte aux rendez-vous manqués et aux choix qui font une vie ! 🥲
J’ai été déçue par Priscilla, de Sofia Coppola, dont j’avais pourtant adoré les films Virgin Suicides, Marie-Antoinette et surtout, Lost in Translation. Le nouveau long-métrage de la réalisatrice est consacré à la jeune Priscilla Beaulieu, qui fait la rencontre d’un Elvis Prestley célèbre mais déjà bien tourmenté alors qu'elle n’est qu'une collégienne timide. Ils tombent amoureux, la jeune femme le rejoint quelques années plus tard dans sa propriété de Memphis et sa vie vire peu à peu à un huis-clos étouffant, solitaire et très ennuyeux, marqué par les sautes d’humeurs et la violence d’Elvis. Malgré la justesse des acteurs, une esthétique rétro hyper soignée, un travail merveilleux de précision sur les décors et les costumes, je me suis ennuyée. Et puis, je me suis demandé si ce personnage inhibé et sans reliefs, à l’émancipation sans éclats, était vraiment un bon sujet.
La Sociedad de la Nieve (ou The Society of the Snow), film de J. A. Bayona sorti cette année, m’a retourné le coeur. Le film, qui s’ajoute aux nombreuses œuvres relatant le drame qui a eu lieu en 1972, met en scène le crash d’un avion uruguayen et de ses 45 passagers dans la cordillère des Andes, et raconte les semaines de survie et de cannibalisme qui ont suivi pour les miraculés, entre espoir et désolation. J’ai trouvé les dialogues passablement niais, les messages humanistes un peu lourdingues et rien ne m’a beaucoup émue, mais l’histoire, les images des montagnes, la qualité du jeu, le réalisme du crash et des avalanches qui accablent les rescapés m’ont vraiment bluffée. Et puis, c’était sur Netflix !!
Sur France TV, j’ai regardé un super documentaire consacré au désormais célèbre procès pour diffamation qui a opposé Johnny Depp et Amber Heard en 2022. J’y ai compris que j’avais moi-même été complètement manipulée, en apprenant que la frénésie médiatique autour du procès et la campagne de discrédit acharnée contre l'actrice américaine ont été orchestrés par des réseaux masculinistes, eux-mêmes encouragés par la défense de l’acteur. On réalise, non sans effroi, que ce lynchage médiatique hyper efficace a su retourner l’opinion public et la décision de la justice. Le docu se termine par un débat éclairant en compagnie d’Hélène Devynck et Christelle Taraud, qui évoquent le mythe de la victime idéale et la double peine que représentent ces procès en diffamation pour les victimes. Cet épisode s’inscrit dans une série intitulée “La Fabrique du mensonge”, qui tente d'expliquer comment naissent et se propagent les fake news, qui en sont les instigateurs et comment ont contre-attaqué ceux qui en ont été la cible. Vous avez jusqu’au 31 janvier pour les voir gratuitement - il suffit de créer un compte sur france.tv. Merci à Jeanne Lyra, qui l’a recommandé en story sur son compte Insta !
Un roman 📚
Hier soir, j’ai terminé Les Sept Nuits de Miriam, de l’américaine Mélissa Broder. En plus de 2-3 critiques positives, sa jolie couverture colorée avait attiré mon attention sur Instagram et j’ai fini par le trouver à la bibliothèque. Dans ce roman, on suit Rachel, une juive américaine de 24 ans qui voit sa gourmandise comme l menace n°1 et fait du contrôle de son poids une religion. Mais lorsqu'elle rencontre Miriam, vendeuse gironde d’une enseigne de yaourt glacé, le désir et l’amour qu’elle se met à ressentir pour cette dernière bouleversent ses stratégies, l’aidant peu à peu à accepter, combler et écouter sa faim. Une histoire de gourmandise, de troubles alimentaires, de quête spirituelle, de désir et de sexe (🔥) que j’ai trouvé drôle, originale, parfois touchante. Pour autant, je n’ai pas adoré : la traduction m’a un peu fait mal aux yeux, j’ai décroché à la lecture de certains passages très surréalistes et j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs.
Deux articles (en anglais) 🗞️🇬🇧
Après être tombée sur ses fines recommandations de lecture en fin d’année, je me suis inscrite à la newsletter perso de Laëtitia Vitaud, journaliste et autrice spécialiste du futur du travail. La semaine dernière, cette dernière a envoyé une super newsletter en réaction à la formule aussi irritante que contre-productive de “réarmement démographique” employée par Macron la semaine dernière. Dans son article, elle revient sur le contexte de baisse historique de la natalité, compare notre situation démographique avec celle de la Chine et rappelle que plus on aidera les femmes à avoir des carrières (avec des crèches, des congés paternité, une meilleure égalité salariale, une éducation nationale en meilleur état…), plus on encouragera la parentalité. En tout cas, certainement plus qu’en brandissant l’argument patriotique, et encore moins celui de la chair à canon (lol).
The type of policies that do seem to have some positive effect on fertility are related to helping mothers have careers rather than pushing them to stay at home. It may seem paradoxical but research shows that higher female participation rates are associated with more babies.
In short, if you want to have some chances of increasing fertility, support working mothers ! Fight discrimination in the workplace. Create infrastructures of care (childcare and healthcare) that make it easy for mothers to work and have the children cared for. Improve the school system. Change the tax system so you don’t incentivise the gender gap (France, like Germany, still has a “conjugal quotient” for income taxes). Reduce the work week for all workers so caregivers can continue to work full-time without risking burnout. Create incentives to encourage fathers to get more involved.
J’ai adoré l’article de Katy Waldman The Rise of Therapy-Speak, paru dans le New Yorker en 2021. Ça ne vous aura pas échappé, les termes assez techniques de “trauma”, “projections”, personnes “toxiques”, “triggers”, “besoin de processer” font désormais partie du vocabulaire courant (en tout cas, du mien, oui ! 🙈) Cet article rappelle, non sans ironie, que l’usage de ce vocabulaire thérapeutique est particulièrement courant chez celles et ceux qui souffrent le moins… Et peut devenir un excellent prétexte pour 1) ne pas s’emmerder pour les autres (“Hey! I’m so glad you reached out ! I don’t think that I can hold appropriate space for you right now :) Do you have someone else you could reach out to?”), 2) se placer en position d’autorité, réduire les autres à une pathologie et devenir complètement auto-centré.
Confession can also become a class performance. (Think of Woody Allen’s Manhattanites, talking endlessly about their shrinks.) In the United States, basic mental-health care remains a luxury item; there’s a reason that the most fluent speakers of the trending argot tend to be wealthy and white. This may explain some of the irritation that therapy-speak occasionally provokes: the words suggest a sort of woke posturing, a theatrical deference to norms of kindness, and they also show how the language of suffering often finds its way into the mouths of those who suffer least. (…)
As philosophers from Michel Foucault to Peter Conrad have observed, medical vocabulary lifts up the speaker—claiming that your intrusive neighbor has “borderline personality disorder” cloaks you in authority while pathologizing him.(…) The problem of “Instagram therapy,” is that it can transform a “deeply relational, nuanced, contextual process,” Gottlieb said, into something “ego-directed, as if the point were always, ‘I’m the most important person and I need to take care of myself.’”
Sur mon téléphone 🤳
Vous êtes souvent à la recherche de petites adresses à Paris ? Je vous recommande le compte Insta The Fat Léa qui donne plein d’idées de restaus / bars / cafés dans la capitale, mais aussi à Bordeaux, Marseille, Madrid, Rome, Copenhague, Lisbonne, Palerme… Il suffit de cliquer sur le lien sans sa bio pour tomber sur l’intégralité de ses cartes Google Maps. L’exercice de la critique n’est pas son fort et sa sélection est un peu léchée pour moi, mais j’adore ses photos, la facilité de lecture des recos et ses guides thématiques bien pratiques (“special occasion”, “coffee”, “date guide”, “sans résas”…).
Cette très drôle mini-bd de l’illustratrice Blandine Denis, qui ne m’a pas rassurée quant à la gravité de la crise du logement à Paris. Le début ici 👇
Des petites adresses parisiennes ☕️🍰
Le café Les Crèmes : de savoureux latte, des petits plats végétariens d’inspi moyen-orientale et un barrista on ne peut plus décontracté et souriant (voir ci-dessous), le tout dans une jolie petite échoppe fraîchement retapée. Merci Siham pour l’adresse !!📍 82 Rue Marguerite de Rochechouart, Paris 9ème.
Un soir, j’ai retrouvé des amis au restaurant japonais Shinjuku Pigalle, où l’on a trouvé ni sushi au saumon, ni brochettes boeuf-fromage fondant, mais une cuisine japonaise fine et authentique. Tout ça dans un ancien bistrot français bien dans son jus, aux murs recouverts d’affiches de films pornos japonais des années 70. Super bon et bonne ambiance ! Fun fact : le quartier de Shinjuku serait un peu le Pigalle tokyoite. Apparemment, le restau accueille des concerts de jazz le samedi soir. Merci à mon amie Hélo pour l’adresse !! 📍52 Rue Condorcet, Paris 9ème.
Céline, de la newsletter Buddy, m’a donné rendez-vous au Kafe Buki : une enseigne de street-food et coffee shop japonais impeccable dont le calme semble attirer tous les freelances du 3ème arrondissement. J’y ai eu du mal à ne pas engloutir mon délicieux latte sésame noir à 4€90 en 3 gorgées ! Le logo, qui m’a d’abord évoqué un dragon, serait une représentation du Soleil dans le théâtre Kabuki - un genre du théâtre japonais traditionnel.📍 20 Rue Poissonnière, Paris 2ème.
Lassées par les éternels verres en terrasses, on s’est retrouvées entre copines au hammam de la Grande Mosquée de Paris, dont je connaissais pour l’instant le jardin, le très joli restaurant et les gâteaux plein de miel. Un moment très agréable pendant lequel je me suis débarrassée d’une quantité un peu flippante de peaux mortes grâce au gant de crin de ma pote - assez satisfaisant je dois dire. Le style “petit palais” du hammam m’a donné l’impression d’être une princesse des Mille et une Nuits et j’ai trouvé, encore une fois, sympa et décomplexant de se retrouver entre meufs dans un endroit où le corps n’est plus qu’un corps, exempt des jugements et restrictions habituels. Après une bonne heure à s’alanguir dans la vapeur brûlante, on a fini de se raconter nos vies en sirotant des thés à la menthe, allongées sur les matelas d’une salle attenante au hammam. Comptez 30€ l’entrée, thé à la menthe inclus.📍2bis Pl. du Puits de l'Ermite, Paris 5ème.
Voilà, c’est la fin de cette newsletter. J’espère qu’elle vous a plu ! Si c’est le cas, n’hésitez pas à la transférer à un(e) ami(e) et à vous abonner, si ce n’est pas déjà fait. Comme d’habitude, n’hésitez pas non plus à m’écrire, en répondant à ce mail ou en commentant le post. Si vous souhaitez partager votre avis et vos idées, je vous invite à répondre à ce petit questionnaire - merci beaucoup !! Comme d’habitude, vous lire me fait super plaisir.
💐 Pour me soutenir dans la durée et avoir accès au groupe WhatsApp “les coulisses de la newsletter” où je partage mes réflexions, des ressources et mes “conseils” créatifs par messages audio, c’est par ici. Pour me soutenir en “one shot”, c’est par là. Un grand merci pour votre soutien !! ❤️☺️
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Bisous, bonne journée et à dans deux semaines !!
Louise
J'ai failli tomber de ma chaise quand j'ai vu le nom de Laetitia Vitaud!! Comment l'as tu connue? J'ai travaillé avec elle au Lycée Hélène Boucher de Paris quand je venais tout juste de débuter en tant qu'enseignante d'Anglais. Laetitia est une femme brillante et j'avais perdu le contact. Je me suis tout de suite inscrite à sa newsletter! Merci encore pour cette reco, le monde est si petit!!
Bravo Louise pour cette nouvelle édition ! Pas de pression à avoir, tu fais à ton rythme 😌 dans tous les cas, sache que c’est toujours un plaisir de te lire