#37 : Mme Grognon speaking
Récit d'une chouette semaine + ce qu'abrite l'onglet "explorer" de mon compte Instagram + les découvertes de la semaine (15 minutes de lecture)
Coucou tout le monde,
J’espère que vous allez bien !
72h après mon retour de vacances, je redevenais une parisienne impatiente, irritable et aigrie.
Parmi les causes, il y a bien sûr l’impression de vivre le scénario de la série Years and Years en mode “avance rapide” (je vous jure que j’avais écrit ça avant Paloma !), mais commençons par le petit chaos du privé.
Déjà, ma relation avec Classpass s’est profondément dégradée. 3 jours après m’être fait recaler à un cours de Pilates pour 4 minutes de retard (les profs les plus redoutés du collège étaient plus compréhensifs), la plateforme me soutirait 23€ de frais d’absence. Il ne m’en fallait pas plus pour ouvrir une page “lettres de réclamation” sur ChatGPT.
Puis j’ai eu une idée brillante : acheter une guirlande lumineuse qui fonctionne à l’énergie solaire, à Paris en janvier. Elle s’allume environ 30 secondes par jour, c’est génial.
Les jours qui ont suivi, j’ai écrit “hello Laura” à une Madeleine, oublié une soirée d’anniversaire et passé la soirée en tête-à-tête avec une courge butternut à la place, appris qu’il me faudrait probablement porter une gouttière dentaire si je ne veux pas me faire appeler Nanny McPhee sous peu, été contrainte de virer le montant du prix de cette beauté à la police pour 3 mètres de sens interdit, fait pipi sur mon jean en tentant de viser des flacons en plastique (faites vous dépister les djeuns !) et vu, en ouvrant mon frigo, l’une de mes dernières tasses se briser en 18 morceaux sur le sol de ma cuisine. J’ai senti que j’étais sur une pente glissante au “putain FAIT CHIER là !!!” sonore qui m’a alors échappé ainsi qu’à ma féroce envie de trouver un coupable. Consciente d’émettre de très mauvaises ondes dans la coloc depuis 2 jours, j’ai ravalé (à grand-peine) les accusations qui me brûlaient les lèvres.
À ce moment-là, je me suis dit qu’il était temps de me séparer du jeune homme que je fréquente depuis septembre. Ont suivi 3 jours de célibat… Jusqu’à une soirée théâtre, “en tout bien tout honneur hein !”, où l’on s’est évidemment becqueté pendant 1h30 et remis ensemble dans la foulée. Décision suspendue jusqu’à remontée des températures.
Mais ces énergies négatives me semblent loin, maintenant. Hier soir, un cours de yoga option “bain sonore” a libéré l’être de lumière qui sommeillait en moi. Depuis, j’ai l’impression de peser 10 kg de moins, de fusionner avec ✨l’instant présent✨ et de n’être plus qu’amour, grâce et paix. Un jour, si elle est d’accord, je vous communiquerai le nom de ma bonne fée. J’ai aussi un peu envie de raconter mon expérience mystique à la terre entière, mais les gens ne sont pas curieux, c’est dingue…
Petite question sur ton feed Instagram
Je conçois tout à fait de pouvoir vivre une vie très épanouie sans enfants. Une chose est sûre, je n’en veux pas maintenant. Mais si j’en crois mon compte Insta, littéralement devenu une pouponnière virtuelle depuis 6 mois, je suis dans un déni cosmique.
J’ai adopté une petite stratégie d’évitement, mais je sais que je n’ai qu’à ouvrir l’onglet “explorer” de mon compte pour tomber sur des dizaines d’images de femmes enceintes caressant complaisamment leur ventre rond, de mères alitées à la maternité, de parents comblés, de nourrissons à 4 pattes, des posts représentant les différents stades de développement du foetus…
Si j’ignorais que l’algorithme ne s’appuie que sur mes intéractions avec l’application, j’aurais l’impression d’un sinistre matraquage, ambiance La Servante Écarlate. Ceci étant dit, je me demande à quel point ce contenu reflète mes désirs inconscients, qui auraient bien sûr été révélés à mon escient à la plateforme dès que je bugue sur un gros ventre ou les gazouillis d’un mignon petit bébé. Bref, je ne sais pas quelle conclusion en tirer, et ça me perturbe.
Samedi soir, réfugiées avec 2-3 copines dans une micro cuisine où l’on finit TOUJOURS par parler de sexe ou d’un sujet au moins aussi tabou, on a sorti nos téléphones pour une séance de confessionnal numérique. Sur leur compte Instagram, nulle trace de femmes enceintes (🙄🙈) mais des chatons multicolores, des stars sur tapis rouges, des illustrations un peu cucul, des posts écolo, des tutos de yoga du visage et des bizarreries inclassables…
Tout ça pour vous poser la question qui me taraude : qu’y a-t-il dans l'onglet "explorer" de votre compte Instagram ? 🤔 Sondage 100% anonyme, synthèse des réponses au prochain numéro. Hâte de vous lire !!
Le dire devient une banalité : les news foutent le vertige. Entre les images de LA en flammes, les déclarations affolantes de Trump vis-à-vis du Groenland ou du Canada, la dérégulation annoncée par Meta et la guerre assumée des broligarques américains à l’encontre des normes européennes, l’ode au virilisme aussi sinistre que ridicule d’un Mark Zuckerberg déguisé en Kanye West (comparaison signée Victoria Duley 💕)… Le sentiment d’accélération des bouleversements géopolitiques, climatiques et technologiques est surréaliste. Pour tenter de suivre et de me faire un avis éclairé de l’actualité, j’essaye le plus souvent possible d’écouter les pointures invitées sur le plateau de C ce soir, émission dont la qualité et la subtilité tranche avec les envolées lyriques un peu superficielles que l’on voit partout.
J’ai passé la semaine à écouter Marine Leonardi raconter sa vie. Son parcours de bonne élève, ses années de cadre et sa découverte du stand up dans le podcast Sea View ; la rencontre de son mari dans Crush ; ses grossesses et l’apprentissage
easy peasyde la maternité dans Bliss. Des témoignages joyeux, intelligents, humbles et sans filtres, où l’humoriste ne garde aucune de ses galères et difficultés pour elle. Si vous êtes passé·e à côté, je vous recommande bien sûr d’aller jeter un oeil à son compte Instagram où elle partage des anecdotes hilarantes, rafraîchissantes et criantes de vérité sur la parentalité, la vie de couple et la charge mentale.
J’ai trouvé ce que j’allais manger en 2025 : du riz et du curry d’haricots rouges, qui cumule pas mal d’avantages à mes yeux - c’est bon, sain, bien nourrissant, simple à préparer en masse, tupperware compatible… J’en profite aussi pour vous recommander l’application Jow, que j’aime pour son interface très agréable et ses recettes ultra simples. Plus jamais vous n’aurez à accepter les cookies de Marmiton !
“Tu regardes Iris ? J’adore” m’a écrit mon amie Diane. Quelques heures plus tard, je me connectais au compte Canal du beau-père de mon ex et découvrais cette savoureuse mini-série signée Doria Tillier. Sorte de mélange entre Fleabag, Hermione Granger et Fabienne Lepic, Iris est une institutrice et autrice jeunesse qui n’a ni la langue dans la poche, ni peur du conflit. Curieuse, exigeante et authentique, elle ne se satisfait d’aucune banalité / hypocrisie / argument d’autorité, un anticonformisme qui ne l’aide pas à se faire des amis. Dans ce style subtilement décalé, j’ai préféré l'indétrônable Fleabag (❤️), mais cette rafraîchissante comédie-romantique m’a touchée et fait éclater de rire plusieurs fois un 15 janvier, ce qui n’était pas gagné.
Pendant les vacances, un pote m’a prêté L’Effondrement, récit d’Édouard Louis sur la lente chute de son grand frère, retrouvé mort à 38 ans sur le sol de son studio. Ça m’a clairement foutu le cafard, la description crue de cette vie limitée par la pauvreté et les déterminismes sociaux, tourmentée par l’abandon d’un père et ravagée par les échecs et l’alcoolisme : mes potes m’ont entendu soupirer “c’est affreux !” toutes les 10 pages. Mais ça m’a prise aux tripes, même si j’ai eu du mal à entrer en empathie avec l'auteur dont le détachement m’a semblé un peu plaqué.
Je déteste les rendez-vous à Strasbourg-St-Denis, où je ne sais jamais où me poser malgré une incroyable densité de restaus. J’irai désormais au Sully, bon plan pas cher, vivant et chaleureux.
Au 61, bar-restaurant qui organise plein d’évènements intéressants (mais aussi des vide-greniers, des grosses raclettes…), j’ai écouté Nina Fasciaux présenter son essai Mal Entendus, qui explore les causes de notre incapacité croissante à nous écouter, ainsi que la polarisation et la difficulté à vivre ensemble qui en découlent. Avec délicatesse et humilité, la journaliste propose des solutions, à commencer par l’apprentissage de l’écoute chez les journalistes - un métier du care, selon elle. En attendant de me faire prêter son livre, c’était un plaisir de la ré-écouter dans le podcast Atelier des médias.
Le week-end dernier, j’ai rejoint des copines au restau du Hammam Pacha dans le 6ème, où l’on a mangé de délicieux tajines entourées de nanas en peignoir blanc.
J’ai adoré Vingt Dieux, le premier film de Louise Courvoisier. Si le pitch évoque plutôt un drame social sur le monde paysan (alors que son père ivre mort se tue en voiture, un jeune glandeur d’à peine 18 ans est contraint de se prendre en main et de s’occuper de sa petite soeur), Vingt Dieux dépeint une réalité du monde rural avec humour, fraîcheur et un charme auquel contribue le casting, entièrement constitué de jeunes amateurs de la région - en témoigne leur accent jurassien. J’attends avec impatience la sortie de la BO, signée par la mère et un frère de la réalisatrice (le film a été fabriqué en famille).
2-3 stories dithyrambiques m’ont convaincue de prendre des places pour le spectacle de Nora Hamzaoui. À ceux qui me demandent, je réponds : “écoute, pas d’immennnse coup de coeur mais vraiment pas mal !”. Avec un humour sarcastique, vif et cru, l’humoriste blague sur la vie conjugale et ses déserts charnels, les bienfaits des antidépresseurs, notre besoin de joie et de futilité dans un monde apocalyptique. Et c’est toujours intelligent, subtile, bien vu, quand bien même ça ne m’a pas touchée outre mesure. C’était aussi l’occasion de découvrir l’univers sensible et mordant de Louis Cattelat en 1ère partie.
Moi-même “un peu KO” 98% du temps, j’ai trouvé intéressant l’épisode Sommes-nous condamné·es à être toujours fatigué·es ? du podcast Encore Heureux, animé par Camille Teste. Accompagnée par la sociologue Capucine Rauch, cette dernière s’y demande, dans un contexte de recul inédit du temps de sommeil au sein de nos sociétés occidentales, s’il existe encore des gens qui pètent la forme et à quel point la fatigue impacte notre santé mentale. À ce sujet, je vous recommande l’excellent numéro du 1 hebdo consacré au sommeil (son fonctionnement, son importance, ce qui le menace).
La bouffée d’oxygène de ma semaine ? Un café avec ma nouvelle copine Clémence Rérolle, que j’ai interviewée en juin dernier sur son métier de sexologue. Depuis, Clémence a créé une newsletter dont vous ne pouvez attendre qu’intelligence, humanité, finesse, douceur et supers conseils. Je vous recommande la lecture de la dernière édition qui reflète bien son approche, en commençant par vous encourager à poser des intentions plutôt que des objectifs quantitatifs en la matière, et ainsi éviter de “transformer votre vie sexuelle en une tâche à accomplir, vidant l’intimité de tout son plaisir et de son essence ludique”.
Mon copain-enfin-on-verra m’a offert Des princes pas si charmants, une des dernières bandes dessinées d’Emma. Avec la clairvoyance, l’humour et la pédagogie qui ont fait sa notoriété, la dessinatrice féministe revient sur la charge mentale (concept qu’elle a contribué à populariser en France), y aborde (brillamment) l'histoire de l'exploitation et de la division en classes pour décortiquer les causes de son propre burn-out et rappelle pourquoi la galanterie est une forme de pouvoir. Des réflexions engagées, parfois très politiques, toujours limpides et parlantes.
PS n°1 : Au festival d’Avignon, c’était standing ovation tous les soirs pour le seul-en-scène “Victor HugOAT : N1 du Rap Français” de Barthélemy Heran, comédien & rappeur born in the 16ème arrondissement de Paris. Les parisiens, Barth joue son spectacle au Grand Point Virgule, tous les jeudis jusqu’au 27 mars. Mêlant récit et rap avec charme, humour et sa belle voix grave, il vous racontera la vie de l’écrivain et pourquoi selon lui, ce dernier aurait été le meilleur des rappeurs.
PS n°2 : Julie Beauzac, du génial podcast Vénus s’épilait-elle la chatte, va donner une nouvelle conférence sur les images de lesbiennes dans le "grand art". C’est 10€ et je n’ai aucun doute sur le fait que ça va être passionnant.
J’en ai choisi 35 pour ici, mais vous pouvez tout voir via le lien à la fin. Un grand merci pour votre participation ! ❤️
Éviter de donner son avis ou des conseils avant qu'ils ne soient sollicités. Souvent, les gens ont juste besoin d'écoute active.
Relire (très souvent) cette définition de la réussite.
Télécharger l’application SelfControl sur son ordinateur.
Se traiter comme son·sa meilleur.e ami.e. Sans complaisance, mais avec prévenance, tendresse, compassion, tolérance et discernement.
S’abonner à la newsletter Buddy pour tout savoir des échéances et des bons plans admin.
Se rappeler que la confiance en soi est une affaire de contexte et qu’elle est fluctuante, pas un état absolu qu’on atteint une fois pour toutes.
Remplacer la crème fraîche par du tofu soyeux pour des recettes gourmandes et un shoot de protéines.
Se rappeler les sages paroles de nos grand-mères : “même dans l’horreur des tranchées, dans la boue et le sang, des petites fleurs poussaient, courageuses et lumineuses. Cherche toujours la petite fleur qui pousse. Et si tu ne la trouves pas, sois cette petite fleur”.
Ne pas se forcer à finir un livre qu'on n’aime pas.
Si tu ne trouves plus de sens à ta vie et que partir sur une mission terrain à l'autre bout du monde te branche, check les VSI (Volontariat de Solidarité Internationale). À la clé, pleins d'avantages : petit salaire, prise en charge des frais, cotisations retraite et droit au chômage au retour.
Se rappeler les sages paroles de Marlène Schaff, prof d'expression scénique à la Star Ac’ : "ne perdez pas de temps à vous trouver moche”.
Quand on coupe un oignon, garder la bouche pleine d'eau empêche de pleurer.[Testé et approuvé]
Après la pluie vient toujours le beau temps. Tu seras encore vivant·e et capable de joie quand tu auras traversé cette rupture/ ce deuil/ ce licenciement/ cette période de creux.
Le percarbonate de soude pour blanchir des vêtements blancs, c'est magique.
Un coup de stress ? On se pose et on respire en 4 temps : 4 secondes pour inspirer par le nez, 4 secondes pour expirer par la bouche. Ça régule le rythme cardiaque et ça dit “tout va bien” au cerveau.
Accepter que les gens entrent et sortent de notre vie.
Prendre un abonnement à la BNF (30 € par an). Il donne accès à Europresse, ce qui permet de lire les articles réservés aux abonnés de plein de journaux !
Se rappeler les sages paroles de Charlotte le Bon au moment de prendre une décision : “si tu n’avais pas peur, quel choix ferais-tu ?”
Garder un peu d’eau de cuisson des pâtes pour l’ajouter à la sauce ensuite, pour plus d’onctuosité.
S’écrire une lettre à soi-même au Nouvel An pour se souhaiter de belles choses, des projets, des changements… Et l’ouvrir un an plus tard. Émotions garanties !
Poser des intentions le plus souvent possible : pour l'année à venir, pour une conversation importante avec un.e proche, pour une réunion (prendre une demi-heure en début de journée pour définir les objectifs de ses rendez-vous permet d’arriver moins stressé·e et de s’assurer d’en sortir avec du concret).
Lire les newsletters Spoune de Virgile pour des supers astuces de gestion financière.
Acheter un radio réveil pour bannir le smartphone de sa chambre et ne plus scroller soir et matin. À la clé, un gain de temps, de sommeil, de rêverie et de sensualité.
Protége ton temps et tes besoins en premier lieu. Dans l’avion, on ne peut pas aider nos proches à mettre leur masque à oxygène si on n'a pas d'abord mis le sien !
Choisir son job en fonction d’avec qui on a envie de déjeuner le midi.
Quand un rayon de soleil pointe le bout de son nez, essayer d’en profiter quel que soit le programme de la journée.
Utiliser Notion pour centraliser toutes les infos du pro et du perso.
Mieux vaut tard que jamais. Se réinventer, changer de métier, déménager, se faire tatouer, tomber amoureux… Toutes les folies ne doivent pas être faites avant 25 ans !
Enrouler ses chaussettes avant de les mettre au sale pour éviter les chaussettes orphelines.
Ne pas hésiter à s'inscrire sur une appli de rencontres. Non, ce n'est pas “la loose” et oui, on peut y faire des belles rencontres.
Tenter la meilleure recette de chocolat chaud au monde : chocolat Nestlé dessert + beurre demi-sel + cannelle + lait.
Écouter des podcasts en faisant le ménage.
Les parisiens, n’hésitez pas à réserver une table au restaurant de l’école hôtelière Vatel aux Batignolles. C’est très bon, ça reste accessible et il y a un chariot rempli de desserts où l’on peut TOUT choisir.
Manger salé le matin, ça change vraiment l'énergie de la journée.
Se rappeler les sages paroles de
nos grand-mèresChange ma Vie : "Les autres peuvent se tromper sur toi, et c’est pas très grave." Qu’ils nous aiment ou pas, d’ailleurs.
Un grand merci à Nora, Marie, Agathe, Nour, Alexandre, Syl, Estelle, Tristan, Gaëlle, Lucas, Antoine, Nathalie, Florence, Charlotte, Roxanne, Isabelle, Lou, Laurie, Margaux, Marie-Sophie, Marguerite, Laura, Alexandra, Victor, Iris, Julie, Julia, Thibaut, Raph, Henri, Alex, Mathilde, Camille, Julie, Stella, Clémence, Marion, Paul, Marie, Alix, Lo, Ninon, Clarisse, Pauline, Jeanne, Nina, Pascale, Juliette, Claire, Hasna, Sophie et Timothée ! 😘
Avec sa newsletter Paradigmes, Alexandre te partage des nouvelles perspectives pour une vie plus saine et intentionnelle. Par exemple, dans cette édition, il raconte comment il a brisé son addiction aux réseaux sociaux (et une méthode simple pour s'en libérer).
PS : si toi aussi ça te dit bien de faire la pub de tes services de baby-sitter / notaire / voyante à plusieurs milliers de personnes sans débourser 1€, rien de plus simple : il te suffit d’abonner 3 personnes !
Merci beaucoup d’avoir lu jusque-là, je suis honorée ! N’hésitez ni à répondre à ce mail, ni à me laisser un feedback. Pour me faire un don, c’est par ici. Un grand merci, et très bonne semaine à tous <3
Bravo Madame Grognon
J’ai bien ri , j’ai trouvé des idées et c’est franchement « rafraîchissant « de te lire
Bonjour Louise, merci beaucoup pour cette newsletter très sympa. Est-ce que vous pouvez choisir une voix féminine pour l’audio?😊