Depuis cet été, hormis quelques posts et stories par-ci par-là, je publie beaucoup moins sur Instagram. Il m’arrive bien de commencer une sélection de photos en vue d’un post, mais je me sens vite envahie d’une lassitude. A quoi bon ? Pour quoi faire ? Au fond, je n’en sais rien.
c'est intéressant, ce point de la "singularité". Je crois en revanche que ce qui fait qu'on adhère à certains comptes a sans doute beaucoup à voir avec une forme de sincérité, des comptes qui ne réinventent pas toujours la roue mais qui vont taper droit au coeur. Je crois me rappeler que l'une des premières "curatrices" chez Instagram utilisait souvent l'expression "when you are the camera" plutôt que d'être uniquement le sujet de l'appareil.
Votre travail est d'excellente facture. Il est clairement visible que vous avez fourni un réel effort de documentation. On ressent clairement une mise en perspective et les enjeux sociétaux et psychologique tout en livrant votre ressenti. Personnellement je me suis désintoxiqué de tous ces attrapes nigauds. Etre invisible sur les réseaux, c'est parfois payer un prix. Les vieux disaient "vivons heureux, vivons cachés". Je m'abonne ! Merci et bon courage pour la suite ! :)
Merci de mettre des mots très justes sur cette problématique à laquelle on pense tous un peu mais sans réussir à verbaliser ce qui gêne.
Moi qui sors de 3 jours sans connexion et qui ai replongé tête la première dans Instagram a mon retour, ça me donne à réfléchir et à me mettre plus de limites !
Et toujours aussi bien écrit et documenté, bravo :)
Impressionnée, comme toujours, par la qualité, l’exigence, l’intelligence, et la sincérité de ton écriture. Je mesure le boulot que représente cette newsletter mais quel plaisir de te lire!
c'est intéressant, ce point de la "singularité". Je crois en revanche que ce qui fait qu'on adhère à certains comptes a sans doute beaucoup à voir avec une forme de sincérité, des comptes qui ne réinventent pas toujours la roue mais qui vont taper droit au coeur. Je crois me rappeler que l'une des premières "curatrices" chez Instagram utilisait souvent l'expression "when you are the camera" plutôt que d'être uniquement le sujet de l'appareil.
Merci pour cette belle mise en perspective !
Votre travail est d'excellente facture. Il est clairement visible que vous avez fourni un réel effort de documentation. On ressent clairement une mise en perspective et les enjeux sociétaux et psychologique tout en livrant votre ressenti. Personnellement je me suis désintoxiqué de tous ces attrapes nigauds. Etre invisible sur les réseaux, c'est parfois payer un prix. Les vieux disaient "vivons heureux, vivons cachés". Je m'abonne ! Merci et bon courage pour la suite ! :)
Merci de mettre des mots très justes sur cette problématique à laquelle on pense tous un peu mais sans réussir à verbaliser ce qui gêne.
Moi qui sors de 3 jours sans connexion et qui ai replongé tête la première dans Instagram a mon retour, ça me donne à réfléchir et à me mettre plus de limites !
Et toujours aussi bien écrit et documenté, bravo :)
Impressionnée, comme toujours, par la qualité, l’exigence, l’intelligence, et la sincérité de ton écriture. Je mesure le boulot que représente cette newsletter mais quel plaisir de te lire!