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Mes réactions, toujours à la lecture désordonnée de vos newsletters pleines de sincérité : je n’ai naturellement jamais eu l’envie d’être « usagère », « consommatrice » de réseaux sociaux. On m’y a poussé lorsque que j’ai dû retrouver un emploi après des années de pause parentale. J’ai commencé sur Linkedin (ma mère peintre et philosophe de 80 ans poste depuis très longtemps et parfois 10 fois par jour).

J’ai trouvé un emploi juste en traversant la rue, à l’ancienne ! Après, on m’a chargée de la communication de la boutique sur la page Facebook et demandé de le faire sur Instagram. Ce qui me plaisait, c’était de créer des designs sur Canva ou de faire de photos. Ce que je voyais sur les réseaux m’horrifiait dans la majorité des cas. J’ai cependant fait la connaissance de quelques personnes formidables sur Linkedin et même eu des nouvelles de personnes perdues de vue qui avaient compté pour moi à un moment de ma vie. Aujourd’hui, licenciée économique, je travaille toujours « gracieusement » sur un projet que j’avais créé de vente de coffrets gourmands et je me démène pour communiquer. Comment se faire remarquer sur un « marché » hyper saturé, inondé par les publicités sponsorisées à grands frais ensevelies sous une avalanche d’inepties ? Le « bon » existe mais il faut sacrément filtrer pour l’apercevoir dans ce torrent absurde d’inutilité. Lire vos lettres me rassurent et me réconfortent tant je m’étais mise à douter de l’évolution et la nature de la communication actuelle. Je suis soulagée que mes enfants aient échappé à ce « cataclysme » mais je crains pour ceux de mon compagnon. Ils semblent avoir été happés par une tornade bien qu’ils aient été protégés plus longtemps que la moyenne.

Vous êtes une chouette jeune femme !

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