Il y a quelques mois, une personne a demandé sur mon groupe WhatsApp s’il y avait des sujets que je ne m’autorisais pas dans cette newsletter. Sans hésiter, j’ai répondu : “tout ce qui tourne autour de la sexualité”. Plus précisément, parler de ma sexualité me gêne. Déjà, imaginer mes parents, mes soeurs, mes oncles et tantes se plonger dans les méandres de mes souvenirs érotiques et de mes premiers émois sexuels me met hyper mal à l’aise. “Ouais l’enfer !” a commenté ma soeur en relisant ce paragraphe. Alors je vais désabonner ma famille, mais retirer chacune de mes connaissances de ma liste d’envoi s’avère mission impossible. Il va falloir que j’accepte que mes amis, ex et petits crushs lisent tout ça.
Merci Louise pour cette Newsletter ! J'adore la métaphore avec la nourriture, elle évoque tellement de chose ! C'est libérateur de te voir parler de l'intime et d'entamer cette conversation, tes phrases me font du bien et me donnent envie de faire ma propre petite introspection.
Puis je rajoute une petite question ciné (ma petite signature haha) : comment les scènes de sexe au cinéma sont-elles aussi responsables de certaines de nos représentations ? C'est tellement présent et pourtant, très peu sont utiles, ou réalistes, voire respectueuse des acteurices... Je trouve que cela dit beaucoup de notre société également !
Je te lis encore avec retard mais qu'importe c'est toujours intéressant et c'est rigolo, (ou pas hein) mais je ne pensais pas que parler de sexe soit encore si "chuchoté" comme tu sembles le vivre toi (je ne sais pas si c'est le bon terme mais bref).
Mais ce n'est peut-être que mon expérience à moi qui joue - je ne sais si c'est la sagesse de l'âge ou juste un féminisme exacerbé depuis quelques années, mais de la même façon que je trouve important de banaliser le sujet des règles (un truc que ma mère, soit dit en passant, trouve trop impudique à évoquer en public 🤭 autant te dire que je pars de loin avec mon éducation !) le sujet du sexe me semble important à ne pas garder trop tabou, même si bien sûr : ça dépend des interlocuteurs qu'on a + je ne suis pas en train de nier tout ce que tu as bien expliqué à propos de la sexualité féminine plus tabou et encline à nourrir du slut shaming (hélas).
Bref, perso j'ai toujours assez librement parlé de mes expériences, avec mes amies proches le plus évidemment, mais je tâche d'être la plus naturelle possible tout le temps en en parlant et d'appeler un chat un chat ! 😅
J'espère que je n'ai pas été maladroite ou peu claire, d'autant que j'ai rédigé ce message entre des correspondances dans les transports, de manière un peu hachée, à en perdre le fil de ma pensée, mais c'était my two cents ! Bisou !
Comme d'habitude je lis ta newsletter avec mille ans de retard car je profite du WE pour la savourer, et cette édition ne fait pas exception, merci pour les très nombreuses références qu'elle contient, et pour avoir "mis les pieds dans le plat" (décidément la métaphore avec la cuisine n'en finit jamais) en abordant ce sujet avec ce don que tu as de mêler réflexion et récit, théorie et intime, analyse sociologique et anecdotes personnelles. Tu arrives toujours à parler de toi sans prendre parti, à dévoiler sans déballer, à rester pudique sans esquiver, et ça laisse la place à nos réflexions de naître et grandir au creux des tiennes :)
En revanche ta grande cousine a dû un peu moins apprécier la lecture 😂
Ta newsletter m'a fait penser à 3 références : le documentaire sur les coordinateurs d'intimité et la série, Split, dont il suit le tournage (dispos tous deux en replay sur France TV, avec juste un des épisodes de Split accessible à partir de 22h30, scène de 💦 oblige - je mets volontairement un emoji pour inciter les gens à aller la regarder 😁), et plus récemment un génial article dans Télérama sur l'amitié comme nouveau modèle familial, qui fait écho à la pression sociale que tu évoques au début et à l'injonction à être actif•ve sexuellement et donc à être en couple, quel que soit le statut de la relation.
Coucou Louise ! Super numéro comme toujours. C’est très documenté et tu m’as fait découvrir pleins de contenus et de personnes inspirantes. Merci pour ce partage, et pour cette analogie entre sexe et nourriture 💡
Merci pour ce recap intéressant ! Voici mes idées :
– concernant ce qui doit être fait à l’école, pourquoi se substituer au rôle des parents dans l’éducation affective des enfants ? Est-ce au ministère de l’éducation nationale de diffuser sa vérité sur la sexualité et l’amour ?
- il me semble que la pornographie qui touche de façon effrayante les mineurs est une cause grandissante de : vision d’une femme objet, les violences sur les femmes, décorrélation entre des scènes irréelles et la vraie sexualité des vrais gens, décrochage scolaire, diminution des vraies relations (les ados n’ont jamais si peu fait l’amour)… Bref une addiction qui ne fait pas tellement de bien aux petits garçons de 10 ans. Je pense que les écoles devraient se saisir de ce qui se passe sur les téléphones dans les cours de récré et qui va affecter affectivement et sexuellement toute une génération (nous n’avions pas le même accès Internet au même âge).
- concernant les contraceptifs féminins, de plus en plus de femmes veulent comprendre leur corps et cesser de s’administrer une pilule qui tait leur cycle et les variations d’énergies qui font la force des femmes lorsqu’elles les écoutent. Les méthodes naturelles de contraception, lorsqu’elles sont maîtrisées ont le même indice de Pearl (indice de fiabilité) que la pilule et permettent d’embrasser une écologie intégrale (ecolo vis à vis du monde mais aussi vis à vis de notre propre corps). C’est une autre vision de l’émancipation du corps des femmes : sans dérégler son corps (pilule) et sans être « toujours dispo » pour son partenaire sexuel, quitte à réinventer une sexualité sans pénétration de temps en temps, ce qui finalement est plutôt un avantage qu’un inconvénient !
Super intéressant! Je trouve que la libération de la parole sur la sexualité féminine dans les comptes insta/podcasts/bouquins est un super tremplin de discussions mais qu’elles n’arrivent dans les faits pas si souvent! La consommation de ce contenu se fait souvent seul(e) et même si je sais mes amis consommateurs, la conversation n’existe pas pour autant entre nous, car le tabou résiste.
Nourritures terrestres et charnelles ont souvent parties liées, comme dans la Grande Bouffe
Pour autant, le fait d'avoir un fort appétit n'oblige pas à son exposition. Dans un monde occidental où tout est place publique, le droit à la pudeur voire au secret entre parties consentantes prend toute sa force.
Aujourd'hui, le cri d'Emma Bovary serait sur TikTok :
Elle se répétait : "J'ai un amant ! un amant !" se délectant à cette idée comme à celle d'une autre puberté qui lui serait survenue. Elle allait donc posséder enfin ces joies de l'amour, cette fièvre du bonheur dont elle avait désespéré.
Merci beaucoup Louise pour cet "épisode" de ta newsletter. Ca tombe presque à pic, je suis en train d'écrire ma vision de ma sexualité pour ne plus être en "pilote" automatique justement et sortir de ces injonctions que j'ai entendu toute ma vie finalement. Je pense à me lancer dans une reconversion en sexologie d'ici septembre donc hâte, hâte, hâte de lire l'interview de Clémence Rérolle 😍. Merciiiiii !!!
Hello, trop cool ta newsletter comme d'hab ! Ça m'a fait pensé à un livre que j'ai lu récemment "Dès que sa bouche fût pleine" de Juliette Oury ou la place du sexe et de la nourriture sont échangés. Le livre m'a laissé sur ma faim.. et ta newsletter fait résonner les questions que je me pose depuis, merci pour tes mots et ton point de vue !
Je glisse ici le mail d'une copine qui réagissait par rapport au rapide passage sur le rôle de l'église dans notre vision de la sexualité. Ça amenait un peu de nuance par rapport à ce que j'ai dit, et c'est tant mieux !
"Coucou Louise !
J’ai lu ta newsletter.
Je ne suis pas du tout d’accord sur ce que tu écris sur la vision de l’église et de la sexualité !
Vraiment depuis Jean-Paul 2 c’est pas du tout l’idée. Y a toute la théologie du corps qui dit que le plaisir est important ++ pour le couple et se détache du sexe pour la procréation. On est très loin des anciennes positions.
Je te conseille le documentaire « une seule chaire » sur YouTube ( KTO) en 2 épisodes. C’est vraiment vieillot comment c’est filmé mais si tu ouvres tes chacras je pense que tu vas aimer. En tout cas moi y a eu un avant et un après. Je dis ça parce que je pense que diffuser une fausse image de la position de l’église peut frustrer des gens qui se posent des questions sur la foi.
Par contre tu verras c’est très exclusif biensur et contre la pornographie donc là dessus pas très new wave. Après je partage cet avis aussi donc suis sûrement biaisée.
Mais voilà l’église a bcp changé et dit que le sexe est beau, sain dans le couple. Et aussi ça détache bcp du sexe par consommation qui est je trouve le problème auj. En fait faire l’amour sans attendre l'orgasme de l’autre comme but ultime permet d’arriver à des choses aussi très belles mais on est brainwash - et c’est ce que tu dis - pas des soucis de performance. Et l’église invite vraiment à voir le sexe comme le tout de l’amour.
Bref, chose marrante une semaine après j’ai regardé « no sex » sur Arte qui en gros montre des gens qui ne couchent plus ensemble et ils témoignent. En fait ils ont tous eu un pb dans leur sexualité avant. J’ai trouvé ça dommage car biaisé. Et tu as envie de leur montrer le doc catho et de leur dire : ça c’est une belle sexualité épanouissante.
Bref, y a aussi love éducation ou love care sur Spotify.
Désolée c’est un sujet qui me tient à cœur ++ et j’ai récemment redécouvert par mon père spi (psy de catho lol) la nouvelle vision de l’église et je l’ai déjà conseillé a plein de copains qui ont adoré. Et je trouve ça dommage de diffuser la vision culpabilisante
Voilà, je n’ai pas relu mon mail c’était dans le métro
Bonne journée !!
Et ne le prends pas mal je trouve ça cool de discuter ce n’est pas une attaque du tout 🙃"
Merci Louise pour cette Newsletter ! J'adore la métaphore avec la nourriture, elle évoque tellement de chose ! C'est libérateur de te voir parler de l'intime et d'entamer cette conversation, tes phrases me font du bien et me donnent envie de faire ma propre petite introspection.
Puis je rajoute une petite question ciné (ma petite signature haha) : comment les scènes de sexe au cinéma sont-elles aussi responsables de certaines de nos représentations ? C'est tellement présent et pourtant, très peu sont utiles, ou réalistes, voire respectueuse des acteurices... Je trouve que cela dit beaucoup de notre société également !
Merci encore, j'ai adoré te lire <3
Je te lis encore avec retard mais qu'importe c'est toujours intéressant et c'est rigolo, (ou pas hein) mais je ne pensais pas que parler de sexe soit encore si "chuchoté" comme tu sembles le vivre toi (je ne sais pas si c'est le bon terme mais bref).
Mais ce n'est peut-être que mon expérience à moi qui joue - je ne sais si c'est la sagesse de l'âge ou juste un féminisme exacerbé depuis quelques années, mais de la même façon que je trouve important de banaliser le sujet des règles (un truc que ma mère, soit dit en passant, trouve trop impudique à évoquer en public 🤭 autant te dire que je pars de loin avec mon éducation !) le sujet du sexe me semble important à ne pas garder trop tabou, même si bien sûr : ça dépend des interlocuteurs qu'on a + je ne suis pas en train de nier tout ce que tu as bien expliqué à propos de la sexualité féminine plus tabou et encline à nourrir du slut shaming (hélas).
Bref, perso j'ai toujours assez librement parlé de mes expériences, avec mes amies proches le plus évidemment, mais je tâche d'être la plus naturelle possible tout le temps en en parlant et d'appeler un chat un chat ! 😅
J'espère que je n'ai pas été maladroite ou peu claire, d'autant que j'ai rédigé ce message entre des correspondances dans les transports, de manière un peu hachée, à en perdre le fil de ma pensée, mais c'était my two cents ! Bisou !
Coucou Louise !
Comme d'habitude je lis ta newsletter avec mille ans de retard car je profite du WE pour la savourer, et cette édition ne fait pas exception, merci pour les très nombreuses références qu'elle contient, et pour avoir "mis les pieds dans le plat" (décidément la métaphore avec la cuisine n'en finit jamais) en abordant ce sujet avec ce don que tu as de mêler réflexion et récit, théorie et intime, analyse sociologique et anecdotes personnelles. Tu arrives toujours à parler de toi sans prendre parti, à dévoiler sans déballer, à rester pudique sans esquiver, et ça laisse la place à nos réflexions de naître et grandir au creux des tiennes :)
En revanche ta grande cousine a dû un peu moins apprécier la lecture 😂
Ta newsletter m'a fait penser à 3 références : le documentaire sur les coordinateurs d'intimité et la série, Split, dont il suit le tournage (dispos tous deux en replay sur France TV, avec juste un des épisodes de Split accessible à partir de 22h30, scène de 💦 oblige - je mets volontairement un emoji pour inciter les gens à aller la regarder 😁), et plus récemment un génial article dans Télérama sur l'amitié comme nouveau modèle familial, qui fait écho à la pression sociale que tu évoques au début et à l'injonction à être actif•ve sexuellement et donc à être en couple, quel que soit le statut de la relation.
Bon week-end 😘
Coucou Louise ! Super numéro comme toujours. C’est très documenté et tu m’as fait découvrir pleins de contenus et de personnes inspirantes. Merci pour ce partage, et pour cette analogie entre sexe et nourriture 💡
Bonjour Louise,
Merci pour ce recap intéressant ! Voici mes idées :
– concernant ce qui doit être fait à l’école, pourquoi se substituer au rôle des parents dans l’éducation affective des enfants ? Est-ce au ministère de l’éducation nationale de diffuser sa vérité sur la sexualité et l’amour ?
- il me semble que la pornographie qui touche de façon effrayante les mineurs est une cause grandissante de : vision d’une femme objet, les violences sur les femmes, décorrélation entre des scènes irréelles et la vraie sexualité des vrais gens, décrochage scolaire, diminution des vraies relations (les ados n’ont jamais si peu fait l’amour)… Bref une addiction qui ne fait pas tellement de bien aux petits garçons de 10 ans. Je pense que les écoles devraient se saisir de ce qui se passe sur les téléphones dans les cours de récré et qui va affecter affectivement et sexuellement toute une génération (nous n’avions pas le même accès Internet au même âge).
- concernant les contraceptifs féminins, de plus en plus de femmes veulent comprendre leur corps et cesser de s’administrer une pilule qui tait leur cycle et les variations d’énergies qui font la force des femmes lorsqu’elles les écoutent. Les méthodes naturelles de contraception, lorsqu’elles sont maîtrisées ont le même indice de Pearl (indice de fiabilité) que la pilule et permettent d’embrasser une écologie intégrale (ecolo vis à vis du monde mais aussi vis à vis de notre propre corps). C’est une autre vision de l’émancipation du corps des femmes : sans dérégler son corps (pilule) et sans être « toujours dispo » pour son partenaire sexuel, quitte à réinventer une sexualité sans pénétration de temps en temps, ce qui finalement est plutôt un avantage qu’un inconvénient !
Super intéressant! Je trouve que la libération de la parole sur la sexualité féminine dans les comptes insta/podcasts/bouquins est un super tremplin de discussions mais qu’elles n’arrivent dans les faits pas si souvent! La consommation de ce contenu se fait souvent seul(e) et même si je sais mes amis consommateurs, la conversation n’existe pas pour autant entre nous, car le tabou résiste.
Nourritures terrestres et charnelles ont souvent parties liées, comme dans la Grande Bouffe
Pour autant, le fait d'avoir un fort appétit n'oblige pas à son exposition. Dans un monde occidental où tout est place publique, le droit à la pudeur voire au secret entre parties consentantes prend toute sa force.
Aujourd'hui, le cri d'Emma Bovary serait sur TikTok :
Elle se répétait : "J'ai un amant ! un amant !" se délectant à cette idée comme à celle d'une autre puberté qui lui serait survenue. Elle allait donc posséder enfin ces joies de l'amour, cette fièvre du bonheur dont elle avait désespéré.
Pas sûr que cela améliore son destin
On n'est pas sorties de l'auberge parce que j'étais un peu gênée de lire cette newsletter dans les transports en commun :-))
Merci beaucoup Louise pour cet "épisode" de ta newsletter. Ca tombe presque à pic, je suis en train d'écrire ma vision de ma sexualité pour ne plus être en "pilote" automatique justement et sortir de ces injonctions que j'ai entendu toute ma vie finalement. Je pense à me lancer dans une reconversion en sexologie d'ici septembre donc hâte, hâte, hâte de lire l'interview de Clémence Rérolle 😍. Merciiiiii !!!
Hello, trop cool ta newsletter comme d'hab ! Ça m'a fait pensé à un livre que j'ai lu récemment "Dès que sa bouche fût pleine" de Juliette Oury ou la place du sexe et de la nourriture sont échangés. Le livre m'a laissé sur ma faim.. et ta newsletter fait résonner les questions que je me pose depuis, merci pour tes mots et ton point de vue !
Je glisse ici le mail d'une copine qui réagissait par rapport au rapide passage sur le rôle de l'église dans notre vision de la sexualité. Ça amenait un peu de nuance par rapport à ce que j'ai dit, et c'est tant mieux !
"Coucou Louise !
J’ai lu ta newsletter.
Je ne suis pas du tout d’accord sur ce que tu écris sur la vision de l’église et de la sexualité !
Vraiment depuis Jean-Paul 2 c’est pas du tout l’idée. Y a toute la théologie du corps qui dit que le plaisir est important ++ pour le couple et se détache du sexe pour la procréation. On est très loin des anciennes positions.
Je te conseille le documentaire « une seule chaire » sur YouTube ( KTO) en 2 épisodes. C’est vraiment vieillot comment c’est filmé mais si tu ouvres tes chacras je pense que tu vas aimer. En tout cas moi y a eu un avant et un après. Je dis ça parce que je pense que diffuser une fausse image de la position de l’église peut frustrer des gens qui se posent des questions sur la foi.
Par contre tu verras c’est très exclusif biensur et contre la pornographie donc là dessus pas très new wave. Après je partage cet avis aussi donc suis sûrement biaisée.
Mais voilà l’église a bcp changé et dit que le sexe est beau, sain dans le couple. Et aussi ça détache bcp du sexe par consommation qui est je trouve le problème auj. En fait faire l’amour sans attendre l'orgasme de l’autre comme but ultime permet d’arriver à des choses aussi très belles mais on est brainwash - et c’est ce que tu dis - pas des soucis de performance. Et l’église invite vraiment à voir le sexe comme le tout de l’amour.
Bref, chose marrante une semaine après j’ai regardé « no sex » sur Arte qui en gros montre des gens qui ne couchent plus ensemble et ils témoignent. En fait ils ont tous eu un pb dans leur sexualité avant. J’ai trouvé ça dommage car biaisé. Et tu as envie de leur montrer le doc catho et de leur dire : ça c’est une belle sexualité épanouissante.
Bref, y a aussi love éducation ou love care sur Spotify.
Désolée c’est un sujet qui me tient à cœur ++ et j’ai récemment redécouvert par mon père spi (psy de catho lol) la nouvelle vision de l’église et je l’ai déjà conseillé a plein de copains qui ont adoré. Et je trouve ça dommage de diffuser la vision culpabilisante
Voilà, je n’ai pas relu mon mail c’était dans le métro
Bonne journée !!
Et ne le prends pas mal je trouve ça cool de discuter ce n’est pas une attaque du tout 🙃"