Coucou tout le monde,
J’espère que vous allez bien !!
Cette semaine, les jolies questions de Léa Gouider ont été l’occasion d’un petit état des lieux sur ma relation à Paris, un an et demi après avoir exprimé mes petits tourments de parisienne et mon FOMO vis-à-vis des récits d’exode.
Rien de nouveau sous le soleil, à quelques détails près. En soi, le simple fait d’envisager quitter Paris un jour m’a donné d’autant plus envie de profiter de ce que cette ville a de meilleur (à mon sens) : les jolis petits cafés, les évènements, les conférences, les pièces de théâtres, les musées, les rencontres, la présence de plein de copains et de ma famille dans un rayon de 8km, sa situation géographique hyper stratégique, surtout quand on fait tout en train...
J’ai aussi intégré que mon épanouissement dépendait de ce que j’en faisais. Bien sûr, un lieu peut combler nos besoins mieux qu’un autre selon le degré d’ensoleillement, les possibilités de rencontres, la proximité de la nature, la richesse culturelle, le prix de la vie ou le rythme qui lui sont propres... Mais il nous reste une part de liberté et de responsabilité dans la manière dont on l’investit.
Alors qu’est-ce qui a changé, depuis ? Comme je le racontais dernièrement, j’ai accepté mon besoin de rencontres et de nouvelles amitiés, plus en phase avec des envies qui se sont affirmées sur le tard. Je me suis installée dans un coworking où je me sens hyper bien, j’ai enfin retrouvé une chorale et j’ai déménagé près du canal de l’Ourcq, hors du centre grouillant, dense et cher de la capitale. Je me reconnais bien plus dans le look des bobos trentenaires du 19ème que celui des habitants de l’Ouest parisien, plus classiques, ou des fashionistas que je croisais tous les jours dans la queue des concept-stores d’Arts et Métiers. Le mois dernier, j’ai harcelé ma coloc’ pour que l’on s’inscrive à l’AMAP près de chez nous, trop désireuse de prendre part à l’ambiance “vie de village” des mardis soirs à la ferme du Rail. Dans une grande ville qui pousse à l’indifférence et l’anonymat, c’est une manière de retrouver un petit sentiment de familiarité et de cohésion !
Voilou. Et maintenant, place à notre liste de rage 🏴☠️ et aux 15 découvertes de la semaine ❤️. Bonne lecture !!
C’est la question que je vous ai posé il y a 3 semaines. Merci pour votre participation, j’ai bien rigolé ! PS : 1) Comme il y avait beauuucoup de réponses, j’ai été obligée de faire le tri. 2) Si ça peut vous rassurer, sachez que j’y ai reconnu mes petits travers au moins 10 fois. 3) Pas de panique les nouveaux, ceci n’est pas une newsletter de gros rageux, mais une petite parenthèse cathartique !! 🙈
Tracas domestiques 🏡
Le camion-poubelle à 6h du mat’, les bics 4 couleurs qui n'écrivent plus ni en bleu ni en noir, le pain qui tombe au fond du grille-pain et le gâteau dans le thé, les lunettes qui s'embuent, l'eau d'arrosage qui déborde du pot, le panier à linge qui déborde (et mari et enfants qui feignent de rien remarquer…), le portable qui tombe en face écran, la chaussette qui se coince dans la machine et que tu récupères trempée, les soirées ou les orgasmes des voisins, les achats Vinted décevants, les pâtes ou le fromage fondu qui collent au fond de la casserole, le bruit de la vaisselle qui s’entrechoque, la salade et le basilic qui ressemblent à rien après 3h… Et puis marcher dans l’eau en chaussettes, perdre un AirPod, enfiler une housse de couette, ne pas trouver ses clés quand on est pressé 🤯
Vie professionnelle 💼
Le bruit des appels Teams, les collègues qui t’écrivent “salut ça va ?” sur Slack et attendent ta réponse avant de te poser leur question, les gens qui se croient malins en utilisant du jargon et des anglicismes, le “ah j'ai écrit la réponse à ton mail mais j'ai dû oublier de l'envoyer" - cette bonne excuse, les collègues qui laissent leur tasse de café sale dans l'évier du bureau, les gens qui font feu de tout bois sur Linkedin (et les commentaires lèche-cul en-dessous), le “petit service” qu’on te demande le vendredi à 18h 😩
Technologie et réseaux sociaux 📱
Les notifications “Stockage Saturé” sur mon iPhone, les films loués qui ne proposent que la VF, les sms du CPF, les gens qui n’ont pas Lydia et te demandent des virements bancaires, les gens qui partagent leur top Spotify en story, ou qui mettent "New post" en story alors qu'ils ont 126 followers, les spams Shein / porno sur Instagram, la musique qui sort d’une page sur Internet mais tu ne sais pas d'où, les newsletters qui ne s'affichent pas en entier dans la boite mail, le bouton “désabonnement” introuvable, la lettre recommandée pour résilier un abonnement auquel on a souscrit en 2 clics, les gens qui donnent des infos très précises - auxquelles il va falloir se référer plus tard - par MESSAGES VOCAUX, les applis météo qui se trompent 🤡
Au restaurant 🍽️
La mauvaise mousse de lait dans les cappuccinos, la burrata sur tout et n'importe quoi, les planches de charcuterie dégueu, le pain rassis, le serveur qui regarde au moment de laisser un tips sur la machine, les restaus hyper bruyants, les gens qui parlent mal aux serveurs·euses. Les boulangeries bof ! 😒
En soirée 🪩
Les tartinades à 38€ le kg dans les supérettes, l’enceinte pas assez forte / qui tombe en panne au milieu de la soirée, les control freaks de la musique (…même la piste de danse vide ne les décourage pas). Et puis les gens qui arrivent tout le temps à 23h, appuient 8 secondes sur la sonnerie, cuisinent hyper épicé sans prévenir, ne se mélangent jamais avec les autres, repartent avec leur alcool pas entamé 💩
À vélo 🚲
Les voitures garées sur les pistes cyclables, les piétons qui traversent sans regarder, les excités de la sonnette, les gros vélos électriques en libre service garés sur les emplacements vélos normaux. La piste cyclable du boulevard Magenta !! Les stations vélib pétées, les vélib bleus qui annoncent full batterie et “batterie faible” au bout de 200 mètres 🤬
Sur le trottoir 🚶🏻♀️
Le bruit des motos qui démarrent, les démarcheurs de rue "Salut salut t'as deux minutes ?", les crottes de chien, les groupes de 8 qui prennent toute la place, les terrasses qui débordent, les vélos qui grillent les feux, les gens qui sortent leurs encombrants sans appeler les encombrants, la rue de Rivoli un samedi aprem ! 😱
Dans le train & le métro 🚞
Les gens qui passent leur appel dans le wagon du train, ne s’écartent pas quand tu dois descendre, s’arrêtent sur les tapis roulants ou à gauche sur l'escalator. Le changement à Châtelet-Les Halles ! ☠️
En voiture 🚘
Les gens qui te collent alors t’es à la vitesse max, s’insèrent sans cligno ou prennent la sortie d’autoroute au dernier moment pour niquer tout le monde. Les vélos qui grillent les feux, roulent hyper mal, bien sûr sans lumière ! 🙄
La faune et la flore 🦟
Les mouches, les moustiques, les larves qui naissent dans la poubelle, les gros rats qui passent à 2 cm de toi la nuit à Paris 🤢
Loisirs 🍿⛱️
Les gens qui mangent leur popcorn bruyamment / sortent leur téléphone au ciné, les expos pas ouf à 18€ l’entrée, les gens qui essaient de te griller dans la queue ni vu ni connu, les photos avec flash pendant les concerts, les gens qui se collent à toi à la plage alors qu’il y a full place 👀
Pendant que le monde s’effondre 🌍
Les journalistes télé qui parlent aux gens engagés comme à des ados inconscients, Zaz, “J’irai où tu iras” et toutes les musiques “amour, joie & bonne humeur”, les gens qui continuent à faire des blagues racistes / à prendre l’avion 6 fois par an pour les vacances, les milliards dépensés pour le spatial, les gens qui ne font pas le tri sélectif parce que “de toute façon tout part dans la même poubelle”, les mégots par terre, les gens qui ne comprennent pas la diff’ entre “sexe” et “genre”, les envolées lyriques de la grande-tante qui ne veut plus que ses impôts financent France Inter, “cette bande de gauchistes”, les gens qui n’ont aucune empathie pour les handicapés ou qui jugent ton enfant neuro atypique🖕
Nos sens mis à l’épreuve 🤢
L’attrape-cheveux de la douche, les mains moites, les chocolats à la liqueur, les aboiements du chien des voisins, le goût de vomi des papayes, la grosse goutte du porche qui te tombe pile sur le sommet du crâne, les gens qui font craquer leurs doigts, le goût de l’ail dans la bouche, les réveils des coloc’, la poussière dans la gorge, le petit doigt de pied qui se prend dans un angle. Les gens qui écrivent “ca va” au lieu de “ça va”, qui disent “gamelle” au lieu de “lunchbox”, "au docteur” et “c’est OK” 😾
Et puis, les gens qui… 👨👩👦👦
Te disent “enchanté” alors que tu les a vus 3 fois, ne remplacent pas le rouleau de PQ terminé, font les guillemets avec les doigts, laissent tout passer à leurs gosses, se posent avec toi quand t’es en 1-1, volent au supermarché, répondent “BONJOUR" avec un air outré alors que tu leur as posé poliment la question. Les couples qui se comportent comme s’ils étaient tout seuls (qu’ils soient en mode “lune de miel” ou qu’ils s’engueulent devant toi - en te prenant pour témoin) 👿
-
“Ces gens-là ont déjà leur place réservée en enfer !“
”C’est insupportable”
”Je m’arrête là parce que je vais m’énerver !”
”Allez stop, karma is a b****”.
Merci pour votre participation !! 🤭❤️
PS : on me dit à l’oreillette que c’est tout le concept du podcast Podchiasse !! 👀
L’Histoire de Souleymane, très beau film de Boris Lojkine, en ce moment au cinéma. On est immergé dans le quotidien chaotique d’un jeune guinéen de 23 ans, livreur à vélo sans papiers en attendant son entretien à l’OFPRA, où il va tenter d’obtenir un titre de séjour. L’interprétation d’Abou Sangare, dont la situation est très proche de celle du personnage, est bouleversante. Très réaliste et dénué de toute forme de manichéisme, ce film nous permet de prendre la mesure de la précarité, du stress et de la détresse de ces hommes qu’on croise tous les jours. On en sort le coeur lourd, en sachant qu’on les regardera désormais autrement.
L’excellente série d’articles sur Linkedin écrits par Lisa Delille, dont l’humour, la finesse et la belle plume m’avaient déjà séduite dans sa newsletter OK ! BÔMEUSE, journal d’une bobo au chômage. Cette fois-ci, la journaliste s’est immergée deux mois dans le réseau social, ses codes et ses cringeries pour tenter d’en comprendre le succès et les ressorts. Résultat : 7 articles hyper fouillés, plein de justesse et d’humour - je vous recommande !
Le week-end dernier, j’étais avec deux amies dans le Perche. Au programme : brume, feuilles mortes, feu de cheminée, chanrantaises, lecture et ”butterflette”. Pour ce plat très, très gourmand, vous aurez besoin d’une courge, de reblochon, d’oignons, de lardons, de crème fraîche et d’un peu de vin blanc. Je termine à peine de digérer, mais ça valait le coup ! 🤤
Le roman La Conversation Amoureuse d’Alice Ferney, qui nous plonge dans l’intimité d’une soirée entre deux futurs amants. Examinés au microscope, les jeux de séduction y sont décrits jusque dans leurs frôlements. Les hésitations, les prises de risque, les petits mensonges, le désir qui naît petit à petit… On a l'impression d'assister à une partie d'échecs ou chacun avance et recule ses pions, c’est assez jouissif. En parallèle, on suit la soirée de leur bande d’amis et leurs conversations qui m’ont fait penser aux dialogues de Scènes de la vie conjugale. Je me suis rappelé ce qui m’avait tant plu dans le roman Grâce et Dénuement, de la même auteure : sa plume légère et profonde, sa mélancolie non dénuée d’humour, sa justesse de sociologue, sa sensibilité renversante. On reste dans un monde bourgeois dont les schémas sonnent un brin désuet 25 ans après sa publication, mais c’est d’une délicatesse !
“Aujourd’hui, à partir de 16h48, les femmes travaillent gratuitement en France.” Derrière cette date, un simple produit en croix et la documentation ultra fouillée effectuée par les Glorieuses. En écoutant Rebecca Amsellem et ses brillantes invitées avant-hier, tout en trempant des chouquettes délicieuses dans mon café brûlant, j’ai appris ce qu’il y avait derrière le hashtag #8Novembre16h48. D’abord, le retard de la France par rapport à la Nouvelle-Zélande, la Suède, l’Islande, l’Espagne ou la Californie. J’ai désormais les stats qui manquaient à mes envolées lyriques : à travail / compétence / expérience égales, il existe un écart de salaire de 4% entre les hommes et les femmes. Écart qui grimpe à 13,9% à temps de travail égal pour des raisons de discriminations, de sous-valorisation des métiers du “care” et de charge domestique - Claudia Goldin, prix Nobel de l’économie, a démontré que les écarts de salaire se creusaient à partir du 1er bébé. Or les mesures existent, elles ont fait leurs preuves et leur instauration n’est plus qu’une histoire de volonté politique. Un petit-dej’ dont je suis sortie moins bête et décidée à signer cette pétition en soutien des 7 mesures proposées par les Glorieuses :
1. Congé parental équivalent pour les deux parents comme en Suède
2. L’égalité salariale comme norme ISO comme en Islande
3. Augmenter les salaires dans les secteurs à prédominance féminine comme en Nouvelle-Zélande
4. Appliquer le principe d’égaconditionnalité [conditionner l’accès aux subventions ou marchés publics]
5. Favoriser le travail flexible comme en Espagne [pour permettre aux gens d’aller chercher leurs enfants à l’école à 16h30, par ex]
6. Choisir une région test comme en Californie
7. Mesurer, toujours plus [la première étape étant de rendre ces inégalités visibles].
Le Pilo’s, un adorable café-pâtisserie argentin du 20ème, branché juste comme il faut, vue sur la cime des arbres du Père Lachaise. Selon Marie-Agnès, qui m’a fait découvrir l’adresse, ils font de gros gâteaux délicieux et plutôt abordables - bon à savoir pour les anniversaires ! 🍰
Mon avis sur la mini-série Years & Years est passé de super enthousiaste à mitigé. On y suit sur 15 ans la vie des Lyons, une attachante famille de Manchester, dans une Grande-Bretagne secouée par les instabilités politiques et économiques, les crises climatiques et les bouleversements technologiques. Mais si j’ai adoré la première partie de la série (l’ancrage très contemporain, le rythme, l’inclusivité, l’humour british…), la suite m’a semblé de plus en plus manichéenne, attendue et tirée par les cheveux. Je ne regrette pas de l’avoir vue, mais j’ai trouvé ça dommage !
L’interview touchante de Paloma Moritz, journaliste engagée sur les sujets écologie & société chez Blast, dans Folie Douce. Au micro de Lauren Bastide, cette dernière évoque le burn out qu’elle a vécu au début de l’été, le tabou qui enrobe la vulnérabilité, ainsi que l’endométriose et les douleurs très handicapantes que cette pathologie lui fait subir (franchement, je n’avais aucune idée de leur intensité). Elle décrit ce que cet épisode d’épuisement lui a enseigné - le droit d’exister pour soi, d’être là et juste de respirer, ainsi que la nécessité d’apprendre à dire non (et donc, à décevoir). Un témoignage transparent, plein de douceur, d’intelligence et d’humilité !
Les jolis colliers upcyclés “ambiance kermesse” de Perle Kstor (en vrai, c’est Jeanne Lyra #scoop). Un process de vente sans chichis : premier DM reçu, premier servi. Des drops sont régulièrement postés en story et leurs prix varient entre 10 et 15€. Je porte le mien tout le temps ! 💘
Je vous aurais bien partagé un petit selfie en l’honneur de ce collier, mais je me trouve pathétique sur 100% des selfies. Et c’est pas faute d’avoir essayé ! Raison pour laquelle j’ai eu beaucoup de plaisir à lire ces 2 récentes newsletters sur l’usage du selfie : 1) la version d’Agathe Hocquet, où cette dernière explique qu’elle en prend mais s’abstient de les partager, ne se trouvant pas jolie dessus, tout en se posant cette excellente question : “pourquoi parler de la moins bonne version d’elle-même, mais ne pas la montrer ?” 2) La version de Haley Nahman (en anglais), qui analyse finement la gêne qu’elle s’est mise à ressentir au regard de l’artificialité de l’exercice. À titre personnel, je me sens concernée par les deux : s’il s’avère que je me trouve un peu mimi sur un selfie (ce qui est très, très rare), ce dernier me renvoie toujours un manque d’authenticité ultra cringe.
In Guy Debord’s Society of the Spectacle, which could be about Instagram but is actually about postmodern life more broadly, he writes that, taken on its own terms, the spectacle is an “affirmation of appearances,” but to understand its essential character—to transcend its enthralling but superficial project—is to see that it’s actually a visible negation of life. This might explain why, sometimes, these days, I feel like a thief when taking photos of myself. Like instead of documenting something true, I’m actively falsifying it. How unholy, how profane!
Le compte Banal Gens répertorie nos petites phrases ordinaires, et c’est un régal malgré le fait qu’on finit tôt ou tard par s’y reconnaître. Pour se consoler, on peut faire rentrer notre banalité dans la postérité en contribuant au compte !!
Les dialogues nous ont semblé assez plats, mais j’ai été hypnotisée par la beauté des dessins du film Le Sommet des Dieux, adapté du manga des japonais Jirô Taniguchi et Baku Yumemakura par Patrick Imbert. Une expérience infiniment esthétique et poétique après le documentaire d’Inox Tag ! 🤪
La série Sisters, dans le podcast The Heart. Kaitlin Prest et sa soeur Natalie nous ouvrent les archives de leur relation, chamboulée au fil des années par la violence familiale, un diagnostic de trouble de la personnalité borderline pour l’une et la complexité inhérente aux relations fraternelles, dont les schémas hérités de l’enfance peuvent réémerger tout au long de la vie. J’ai moins adoré que la (sublime) série The Shadows, certains épisodes sont éprouvants, mais quel plaisir de retrouver le talent de Kaitlin Prest ! Pas grand monde n’arrive à révéler l’intime au format audio avec autant de justesse et de sensibilité.
Kaitlin was Daddy’s little girl. And then: Natalie was born. The older and the younger sister: competing for attention, being bossed around, borrowing clothes, getting in petty fights and loving each other anyway. As little girls Kaitlin and Natalie fought because they were too similar. As teenagers Kaitlin and Natalie fought because they were total opposites. What does their adult future hold? Will they be friends or a family obligation?
Le compte Instagram anti bullshit @ecolo_mon_cul. Trottinettes ou vélo ? Achat en ligne ou en boutique ? Tomates françaises ou marocaines ? Steak de boeuf ou végétal ? Avec des recherches poussées, une plume acérée et beaucoup d’humour, l’ingénieur Pierre Rouvière décèle les entreprises de greenwashing, révèle les aberrations et nous aide très concrètement, pauvres consommateurs paumés, à faire les choix les plus responsables possibles.
Une des dernières œuvres de l’artiste Margaux Derhy, dont le travail m’émerveille plus chaque année. Avis aux féru(e)s d’art et collectionneur(se)s en herbe : la saison 4 du Cercle de l’Art, le collectif fondé par Margaux qui accompagne les femmes dans le développement de leur carrière d’artiste, est officiellement lancée ! Au programme : une vente de tirages d’art, des expos, un livre, des podcasts, des résidences et l’Art Month au mois avril, au cours duquel chacun·e a la possibilité d’acquérir des œuvres des artistes du collectif.
👀 Sinon, Margaux Brugvin m’a donné trèèès envie de lire le dernier roman de Sally Rooney. Sur Arte, j’ai regardé un joli court-métrage qui m’a un petit peu déprimée. Je me suis motivée à courir en écoutant ça. Lors d’une soirée ciné thème Halloween, on a regardé le burlesque Beetlejuice (version 1998). Je lui préfère à peu près tous les films de Tim Burton, mais j’ai bien rigolé !!
🍝 Un grand merci à toutes et tous pour vos inspis culinaires, c’était un plaisir de vous lire !! ❤️Je n’ai pas encore eu l’occasion de m’essayer à la quiche chèvre figues de Mathilde, de me plonger dans le compte @not_so_superflu ou de me procurer le Simplissime végétarien, mais je vous en dirai des nouvelles ! Je vous laisse sur le life hack (brillant ! 🤩) de Matthias :
J'ai trouvé un Life hack : chatgpt. Je rentre mes ingrédients et il me propose des recettes qui sont souvent beacoup plus simples et rapides. Le top.
A l'occasion de son expédition en solitaire "Perds pas le Nord", Clément Gaillères part pendant 3 mois pour traverser la Laponie du Sud au Nord avec ses chiens de traineaux. Une aventure pédagogique que plusieurs écoles vont pouvoir suivre à partir de Janvier 2025. Pour l'aider dans son projet, rendez-vous sur sa cagnotte en ligne.
Un peu de contexte : il y a un an et demi, Clément m’a vendu des saucissons dans une boucherie des Pyrénées. À la seconde où j’ai poussé la porte du magasin, nos regards se sont croisés et ne sont pas lâchés le temps de mes petites emplettes. On s’est retrouvés sur Instagram 2h plus tard et depuis, j’ai vu s’affirmer la détermination de ce mec passionné, sensible et chaleureux, qui a à cœur de transmettre sa passion pour l’aventure et l’affection qu’il porte à sa petite bande 🐺. Bref, n’hésitez vraiment pas à le suivre ou à le soutenir !!
Ici, je vous mets en avant. Abonne 3 personnes si tu veux nous raconter ton projet, quel qu’il soit !!
Merci beaucoup d’avoir lu jusque-là, je suis honorée ! N’hésitez ni à répondre à ce mail, ni à me laisser un feedback. Pour me faire un don, c’est par ici. Pour plus d’infos sur mes services d’écriture, c’est par là. Un grand merci pour votre soutien, et très bonne semaine à tous <3
Merci pour ton courrier ! Très envie de voir le film (1), ajouté la pâtisserie (6) à mes lieux à visiter et téléchargé le podcast (8) ✨
Salut, tu as plusieurs fois évoqué le Perche. Aurais-tu des recommandations sur des activités à faire dans la région. J'y passe souvent mais je ne sais pas trop quoi y faire.
J'adore toujours ta newsletter et c'est un plaisir de la lire.
Merci.